Bonjour à toutes et tous,

Cela y est, la saison des prunes bat son plein, l’occasion de ce régaler ces fruits sur toutes leurs formes et leurs textures. Les prunes et moi c’est une grande histoire d’addiction, alors je n’ose vous dire le plaisir que j’ai à les cuisiner.

En cette mi août en particulier, c’est la saison des mirabelles. Ces perles dorées se boulottent aisément crues comme s’apprécie cuites. Si le far aux mirabelles est un grand classique de la maison, j’ai découvert il y a quelques temps (années) qu’elles font aussi de délicieuses compotées. La petite astuce pour rendre ces mets excellents est juste de sucrer un peu (car comme toutes les prunes, les mirabelles deviennent acides à la cuisson) et de leur ajouter un condiment. Il y en a un qui s’y associe particulièrement : le thym. Bref, des mirabelles, du thym, un peu de miel et vous obtenez en quelques minutes une délicieuse compotée qui s’associera bien avec un yaourt de brebis, fromage blanc ou faisselle. Sa saveur et sa couleur dorée fera même que vous pouvez la proposer à belle Maman sans mal en dessert raffiné et léger.

Alors que la saison des mirabelles est en cours, je voulais partagée la recette de cette compotée de mirabelles avec vous. J’espère qu’elle vous plaira et/ou vous inspirera pour cuisiner ces jolis petits fruits. Bonne journée !

Découvrez aussi

D’autres idées pour se régaler avec les prunes :

• Clafoutis de prunes et amandes
• Cobbler de prunes au sarrasin
• Tarte aux reines claudes

Bonjour à toutes et tous,

Avec la vague de chaleur, je voulais vous proposer une recette bon-plan découverte il y a peu. Si vous ou vos proches apprécient les glaces, cela pourrait vous intéresser. 😉

Mes plus-si-petits gourmands ont beau grandir, leur affection (voire addiction) pour les glaces ne s’estompe pas et ils me challengent tous les été pour en créer des versions maison. Mais avec une sorbetière encore tombée en rade et peu de temps devant moi avec le travail, difficile de me lancer dans les recettes de crèmes glacées. La crème glacée choco-noisette aux éclats de brownie, ce n’est pas encore pour cette année.

Bref, il n’empêche qu’en trainant un matin sur le site « marie claire cuisine et vin » je suis tombée sur une recette qui semblait être LE bon plan glace & flemme. C’est un yaourt glacé, où l’on dispose le yaourt dans un moule, parsème de fruits et fruits secs, et hop congélo puis vous obtenez des barres glacées (recette ici). Cela m’a direct plu et j’ai voulu tenter. Comme la saison des mûres démarre dans le Gers, ces baies semblaient appropriées. Pour les fruits secs, des pistaches torréfiées et caramélisées. 5 minutes de préparation à tout casser.

A la dégustation, petits et grands ont été bien contents. C’est frais, c’est ludique en présentation, c’est savoureux. Mûres et pistaches se marient bien, le yaourt apporte du crémeux. Sans être la recette de glace qui vous fera gagner le meilleur pâtissier, elle a décroché un « c’est gucci » (= c’est stylé, c’est bien) du plus grand.

Je voulais donc vous proposer l’idée, pour ces derniers jours chauds et pour la suite de l’été. Peut être cela vous inspirera ? Bonne journée

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D’autres idées de desserts frais pour l’été:

• Glace aux amandes sans oeufs
• Esquimaux au melon
• Tiramisu aux pêches

Bonjour à toutes et tous,

Alors que la canicule sévit partout, nous obligeant à nous confiner à la mi journée, j’aimerais vous emmener en balade ou plus exactement en randonnée. Nous allons quitter un peu le Gers pour nous évader dans les paysages de Dordogne.

Pour la petite histoire, les grands parents (des plus-si-petits gourmands) ayant une maison de Campagne du côté de Bergerac, nous y emmenons les plus si petits gourmands en vacances tous les étés. Les quelques jours que nous passons la bas pour les emmener/reprendre sont autant d’occasion de visiter cette jolie région. Je n’ai d’ailleurs pas tardé à repérer les nombreux circuits de randonnée du coin. C’est l’un d’entre eux, – fait un matin chaud en famille – que j’aimerais partager avec vous.

Nous partons au sud de Bergerac dans les vignes du Monbazillac. J’espère qu’elle vous plaira. 🙂

Pour débuter la randonnée, nous nous retrouvons au petit matin dans le petit village de Monbazillac. Point de à la maison du vin, à proximité du château. Le ciel d’un bleu éclatant nous accompagnera toute la journée

La randonnée se veut être une boucle (presque un 8) facile s’étirant dans les vignobles de Monbazillac. Le tracé nous fait donc vite quitter la ville ancienne pour nous retrouver directement plongé au cœur de vignes à perte de vue.

Une dizaine de minutes sur route nous conduit à un embranchement vers un chemin agricole, nous allons plonger directement ans le vignoble.

Les dénivelés du chemin offrent de jolis points de vue.

Alors que la végétation sèche et tondue à ras dans ces lieux, mon regard de botaniste amateur est vite attiré par des asperge sauvages en fleurs. C’est assez amusant d’en découvrir ici.

Le chemin agricole bifurque, passe une haie et nous emmène sur une autre région sèche du coteaux.

Un joli point de vue se trouve ici avec un vénérable chêne trônant au milieu des vignobles. L’alternance des vignes bien vertes, du chêne vert foncé et des herbes jaunies forme un étonnant tableau fait de contrastes.

En passant, nous regardons les raisins encore non mûrs. Dans quelques mois, ils finiront dans un délicieux vin blanc sec de Monbazillac. Ce vin plutôt sucré est idéal pour préparer du vin de fleurs de sureau.

Après plus d’une heure dans les vignes, le chemin agricole nous emmène en forêt. Cette portion ombragée est plus qu’appréciable en cette chaude journée.

Dans ces lieux ombragés, la végétation fleurie a repris ses droits et l’on peut voir nombres centaurées,
germandrée scorodoine, graminées d’ombrage..

L’intermède forêt dure une petite dizaine de minutes puis nous retournons sur les coteaux exposés, longeant la forêt. Un ballet de carottes sauvages orne les bords de chemins.

L’ombre de la forêt est agréable sur cette fin de matinée chaude.

Sur le bord d’une parcelle, une amusante pancarte attire l’attention de la troupe. La plus jeune demande s’il y a ds ours dans le coin, nous éclatons de rire. L’humour paysan est toujours une petite pépite lors des randonnées.

En continuant le chemin, nous changeons de côté de collines et voyons apparaître au loin le château de Monbazillac.

Un peu plus loin, les vignes dominent la plaine de la Dordogne. Elles semblent porter si loin. Parfois, j’aimerais avoir quelques centimètres de plus pour pouvoir voir « au dessus ».

Nous arrivons bientôt au tournant de la randonnée et longeons le coteaux.

Ce chemin se poursuit dans les bosquets frais..

Avant de nous offrir le clou du spectacle de cette randonnée : l’arrivée dans le parc du château de Montbazillac.

La randonnée se termine en remontant vers le château par un petit chemin de terre, puis retrouvant le parking. La fin de matinée est proche, les températures ont monté, il est temps de retourner au frais.

En espérant que cette randonnée vous a plu, je vous souhaite une bonne journée. 🙂

Plus d’infos

Trace GPS et descriptif de la randonnée : https://www.guide-du-perigord.com/fr/tourisme/decouvrir/itineraires-de-randonnees-en-perigord/monbazillac-422/boucle-de-monbazillac-30.html

Durée/Difficulté : La randonnée dure 2H + prolongations liées photos, pauses, etc. Elle ne présente pas de difficultés particulières.

Bonjour à toutes et tous,

C’est une de mes recettes classiques de l’été que j’aimerais partager avec vous. Elle a le mérite d’être préparable à l’avance et de se servir fraîche, ce qui est souvent un atout lors de ces mois chauds.

Mes gourmands (et en particulier mon mari) sont de grands amateurs des terrines de poissons et/ou fruits de mer en été. Le prix de ces préparation ainsi que leur liste d’ingrédients bizarres m’ont vite (i.e. il y a déjà quelques années de là ; ) ) poussée à tenter les recettes maison. J’ai découvert ainsi que ces mets ne sont pas si complexes que cela et qu’il existe autant de variantes possibles que de cuisiniers ou d’envies de complexité. On peut passer de la terrine « simple et savoureuse » préparée en 20 minutes avec du poisson peu onéreux à celle « festive et raffinée » avec différentes couches de poissons fins et des « inserts » en légumes ou en fruits de mer.

Celle que je vous propose aujourd’hui rentre dans la première catégorie et revient tous les ans sur la table. Il s’agit d’une terrine de poisson blanc (merlu, lieu noir ou lingue bleue selon l’arrivée du jour), parfumée au citron et au curcuma. Elle est vite préparée, dispose d’une jolie couleur grâce aux épices, d’un mélange de saveurs qui fonctionne très bien. Elle se prépare à l’avance et se sert fraîche pour l’été. Mes gourmands l’apprécient beaucoup, telle qu’elle, avec une mayonnaise ou une sauce au yaourt.

Je voulais donc partager avec vous cette recette de terrine de poisson, citron et curcuma, dans l’espoir qu’elle vous inspire. Vous pouvez bien évidemment l’enrichir à convenance. Bonne journée

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Pour accompagner la terrine lors des les repas d’été :

• Foccacia aux tomates
• Riz aux herbes
• Salade d’aubergines grillées aux amandes

Bonjour à toutes et tous,

Alors que le mois d’août démarre, j’aimerais vous emmener dans une amusante balade botanique. Cela fait plusieurs mois que je la « mijote » et c’est avec un certain plaisir que je vous la propose. ; )

Alors que nous sommes en août, mois de vacances et des séances de parade à la plage, il y a une chose qui est souvent honnie dans ces lieux : le poil. Il ne trouve grâce qu’a peu d’yeux et subi un jugement des plus défavorables. A contrario, dans le monde des plantes, en particulier en été, le poil est presque omniprésent. Nombres sont les plantes qui en sont couvertes et qui l’arborent joyeusement sous forme d’un liseré argenté brillant au soleil ou sous une apparence plus discrète

Je vous propose une balade botanique août dans ce monde des poils où plus exactement des trichomes. Si l’idée vous tente, venez. 🙂

Avant toute chose, nommons bien les choses en parlant de trichomes, « poils ou excroissances de l’épiderme des parties aériennes d’une plante » (source : wikipédia). Ces trichomes ont une variété de formes et de textures, avec une variété de termes fleuris pour les décrire. On parle ainsi de plante glabre, sans pilosité, une plante hirsute grossièrement poilue, une plante pubescente avec diverses formats de poils, hispide avec des poils hérissés,… Il existe deux types de poils, les poils simples et les poils glandulaires,c ‘est à dire stockant des substances à leur base. ls remplissent différentes fonctions que nous allons voir dans cette balade botanique.

Commençons donc sur un bord de route, particulièrement en bord de fossé. Ici, avec la fraicheur de juillet, l’ortie a largement envahi les bords. L’ortie sauvage est une plante recouverte de poils, ce qu’on aperçoit vite avec le liseré gris-argenté de la plante au soleil. Ces poils ont des propriétés défensives et urticant. L’objectif est de décourager tout animal petit (insecte), grand ou très grand (ruminant) de déguster la plante. Quiconque a touché la plante a fait expérience de ses poils…

Partons voir un autre type de poil défensif avec la picride fausse vipérine (grande plante des friches), aux feuilles et tiges rêches. Un zoom sur les parties aériennes et en particulier montre une grande densité de poils dressés. Ces poils crochus ont un objectif défensif:

• contre les petits insectes comme les pucerons qui s’empêtre dans ces poils
• contre les grosses bêtes qui trouvent la plante trop rêche pour être mangée

Le nom de vipérine de la plante du dessus est issue de la « vraie » vipérine qui est connue pour opter cette stratégie poilue pour se défendre des herbivores en été.

Changeons de type de poils pour retrouver une plante dite hérissée car couverte de longs poils : l‘épilobe hérissée. Vous la trouvez préférentiellement en été au bord des fossés. Vous serez vite surpris par son aura argentée qui n’est autre que… l’apparence de ses poils. Cette plante comporte à la fois des poils simples et des poils glanduleux. Ces derniers élaborent à leur base diverses substances chimiques dont des flavonoïdes pour se défendre des insectes herbivores. [2]

La stratégie de défense par les poils c’est également diversifiée et endurcie à l’extrême. Chez la laitue vireuse, (grande plante de 2M à petites fleurs jaunes, que l’on peut trouver dans les friches ou bords de route) certains poils des bords des feuilles ou de la nervure centrale sont devenus des pics durs capables de griffer les herbivores et les randonneurs un peu trop curieux.

Nous avons vu les poils défensifs, voyons maintenant la famille des poils odorants. Comme expliqué en introduction, nous avons deux types de poils : les simples et les glanduleux hébergeant une capsule de stockage de substance. Dans nombre de plantes, c’est dans cette capsule que sont stockées les essences aromatiques. Comme par exemple pour la menthe (à feuille ronde) que l’on voit fleurir au bord des fossés. Les poils glanduleux hébergent les capsules d’huile essentielle.

C’est aussi valable pour la mélisse sauvage ou de jardin avec ses poils sur les feuilles et la tige. Et vous pouvez étendre à diverses aromatiques méditerranéennes comme le thym, la sarriette, etc.

Même cette stratégie se retrouve dans nos potager. Avez vous remarqué que si vous touchez vos pieds de tomates, pour les attacher ou retirer les gourmands, vous vous retrouvez vite avec les mains (très) odorantes ? C’est lié à la libération de l’huile essentielle de la plante contenue dans la glande des poils glanduleux.

Je vous propose de terminer la balade en rencontrant quelques amusantes variations de poils. Nous avons vu les poils sur les tiges, les feuilles, les bractée, parfois il y en a aussi sur les fruits ! Le plus connu représentant est notre pêche de verger. L’intérêt de ces poils est de limiter l’évaporation de l’eau du fruit, et empêcher l’adhésion de l’eau de pluie qui peut conduire à la formation de moisissure.

Et terminons l’exploration botanique avec une variété toute particulière de poils situé sur les bractées (écailles entourant les fleurs) des centaurées, appelés cils. Ces cils sont un signe distinctif des espèces dans cette large famille de plantes et peuvent être longs, courts, fins, colorés, noirs, hérissés,…

Nous voilà au bout de notre balade botanique août à la découverte des poils. En espérant que celle-ci vous a amusée, intéressée, appris des éléments, je vous souhaite un bon week-end !

Sources de l’article:

• [1] https://www.zoom-nature.fr/picride-fausse-eperviere-ou-helminthie-en-ombelle-des-coeurs-et-des-vers/
• [2] https://www.zoom-nature.fr/epilobe-herisse-le-grand-conquerant-des-fosses/
• [3]https://fr.wikipedia.org/wiki/Tomate
• [4]source : salamandre

Bonjour à toutes et tous,

Pour reprendre les traditions du blog, dans ce billet, je vous propose différentes recettes pour agrémenter et varier vos menus Août. Ce sont des recettes publiées en Août ou dans les mois attenants. J’espère que vous trouverez quelques idées pour vous inspirer. : )

Apéritifs

• Escargots aux olives
• Concombres à l’aigre douce
• Sandwiches de concombre au chèvre
• Raîta de concombre

Salades, Tartes, et entrées

• Clafoutis basquaise
• Clafoutis de courgettes au curry
• Gaspacho andalou et brochette de pain grillé (photo)
• Salade de pois cassés, concombre, menthe
• Salade d’aubergines aux amandes
• Salade de tomates anciennes à la menthe
• Taboulé de sarrasin
• Tarte aux poivrons grillés et chorizo
• Tartines de tomates et fromage frais

Plats Veggies, Viande, Poisson

• Frittata de légumes du soleil
• Maquereaux grillés, marinade coréenne (photo)
• Maquereaux à la moutarde
• Mijoté d’aubergines, poivrons, saucisses
• Mijoté d’aubergines et pois chiches à la provençale
• Omelette aux courgettes
• Porridge salé sarrasin tomate
• Poêlée de haricots tarbais, hariots verts, tomate
• Poivrons farçis merguez et boulghour
• Travers de porc laqué au soja
• Terrine de poissons, citron et curcuma

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Accompagnements

• Aubergines et poivrons confits au four
• Couscous en petits pains
• Croquettes de riz
• Pommes de terre à la crème de roquette
• Tian d’aubergines au pesto (photo)
• Salade d’aubergines aux amandes
• Salade de poivrons grillés et marinés
• Bulgur pilavi

Desserts

• Conserves de prune au naturel
• Cobbler aux pêches et amandes
• Cobbler de prunes au sarrasin
• Far aux mirabelles
• Gâteau aux prunes très moelleux
• Pana cotta aux baies de sureau
• Salade pêches, prunes, mûres
• Tarte aux reines claude et amandes
• Tarte aux mirabelles simplissime
• Tiramisu pêches amaretto
• Terrine de fruits d’été (photo)
• Yaourt glacé, mûres et pistaches

Goûters et petits déjeuners

• Confiture de prunes sauvages (photo)
• Confiture de pêches au safran
• Conserves de prunes au naturel
• Eau infusée pêche verveine
• Esquimaux au melon
• Gâteau aux figues très moelleux
• Jus de pastèque à la verveine
• Pêches au sirop épicé
• Yaourt glacé, mûres et pistaches

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Bonjour à tous,

Note :Un(e) lecteur(ice) m’ayant gentiment indiqué que la recette s’était perdue lors du déménagement du blog l’année dernière, je me permet de la re-publier en version mise à jour. J’espère que vous en profiterez 🙂

Ces derniers week-end, comme tous les ans, ma cuisine se transforme bien vite en « atelier conserves et confitures ». J’ai plaisir à mettre l’été en bocal et imaginer les futurs plats d’automne/hiver/Printemps que l’on relèvera ce des précieuses saveurs du potager ou du verger.

Dans mes classiques de saison se trouvent les tomates confites. Ce sont des tomate séchées longtemps au four puis mises en conservation dans de l’huile. La préparation permet de disposer de petites « bombes de saveur tomate » qui relèvent extrêmement bien les plats, les salades ou les tartines.. J’en prépare deux versions selon la générosité du potager :

• soit version pétales de tomates confites avec des tomates roma
• soit version tomates cerises confites

Je peux vous assurer qu’une fois qu’on a mis le nez dans ces tomates confites, c’est addictif et on ne peux s’empêcher d’en faire l’été d’après… voire encourager ses pieds de tomate potager pour produire « encore plus » et permettre de faire ses conserves 🙂

Je vous donc partage la méthode; si vous aussi cherchez à faire des conserves de tomates qui changent de la sauce. J’espère que cela vous plaira. Bonne journée !

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Découvrez aussi

Pour utiliser les tomates confites :

• Salade de courgettes en tagliatelles
• Tarte rustique aux courgettes marinées