Bonjour à toutes et tous,

Ce matin, j’aimerais proposer une recette dessert « express » mais de saison. Seriez vous tentée ?

Les premières fraises sont (enfin) arrivées dans le Gers et dans mon potager, permettant d’envisager picorage gourmands comme desserts colorés. Si on profite de ces fraises seules, on aime bien aussi les associer avec les autres fruits de saison comme le kiwi. Fraises -kiwi c’est un peu le poire – chocolat du printemps : un mélange de douceur et de force (acidulée), qui surprendre de premier abord mais se révèle être Le bon plan gustatif et gourmand de la saison.

Bref, lorsque l’on parle de dessert rapide avec des fruits, j’aime bien préparer des verrines composées de yaourt crémeux, de fruits, et éventuellement de « toppings » qui apportent la touche croustillante. Dans cette veine, une verrine fraise kiwi est parfaite. Facile à préparer, attractive visuellement, douce et acidulée, légère, elle cumule les qualités. Elle demande juste un peu d’organisation pour faire mariner les fruits dans une tisane afin de les parfumer, mais le reste peu s’improviser au dernier moment. Ensuite, il n’y a plus qu’a se régaler ou régaler ces convives.

Même si cela ne révolutionne pas la cuisine d’Avril, j’avais donc envie de partager l’idée de verrines fraises kiwi yaourt avec vous. J’espère que cela vous inspirera. Bonne journée !

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Bonjour à toutes et tous,

Avec le beau week-end qui s’annonce, je vous propose de repartir en balade botanique, admirer les nouveautés de la saison. J’affectionne particulièrement le mois d’Avril car c’est un mois où l’exubérance florale est de mise, les prairies adoptent de nombreuses couleurs, mais aussi (voire surtout) car c’est la période du vert tendre dans les arbres. Les arbres débourrent et forment des jeunes feuilles aux couleurs douces. Ils offrent dans les paysages des notes tendres et vives.

Avez vous déjà pris le temps de regarder ces jeunes feuilles de près ? Si non (ou même si oui), je vous propose une balade dans les arbres du Gers les admirer. Elles sont plus variées que vous imaginez 🙂

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Nous allons commencer par les arbres les plus précoces à débourrer. Le premier que nous croisons est le frêne commun. Ses toutes jeunes feuilles se teintent de rouge avant de s’étendre et aborder le joli vert tendre de la photo ci dessus.

Les érables champêtres savent aussi arborer un étonnant spectacle quand on les « attrape » au début du débourrement. Au tout début, de sont des coques rouges-roses qui s’allongent. Lorsqu’elles s’ouvrent, elles montrent des petites feuilles transparentes et fortement repliées qui se déplient en une fraction de jour. On pourrait presque les « voir » s’étendre au fil des heures.

Pendant que certains forment leurs feuilles en premiers puis éventuellement des fleurs, certains arbres fonctionnent en inverse. C’est le cas du merisier (et des cerisiers de vos jardins), qui offrent d’abord de jolie grappes de fleurs blanches, avant de former des feuilles vert-rouges

D’autres sont plus discrets dans la floraison comme les hêtres commun, où sous les toutes jeunes feuilles vert clair, on peut observer les fleurs.

Continuons la balade auprès d’un petit rû qui héberge nombre variété d’arbres appréciant l’humidité. Le premier que l’on remarque est le saule cendré, où les toutes jeunes feuilles deviennent transparentes sous la lumière. On peu aussi, si on s’approche, remarquer qu’elles sont bien velues en dessous, ce qui leur donne une teinte blanche.

A côté, impossible de passer à côté des feuilles rondes et luisante de l‘aulne glutineux. A vrai dire, on repèrera vite que c’est un aulne à ses petits cônes et ses chatons. Ce qui est amusant de noter sur ces feuilles c’est qu’elles sont luisantes sur le dessus et mates en dessous.

J’aimerais attirer votre attention sur une famille d’arbres présentant une étonnante vérité de feuille : le peuplier. On le reconnaît aisément à son port car il a un port de cierge plus ou moins élargi.

• L’espèce locale et courante du peuplier est le peuplier noir, formant des feuilles triangulaires, luisantes et vertes. (à gauche)
• La variété décorative utilisée dans les villes est le peuplier d’Italie aux jeunes feuilles rouges cuivrées. (milieu)
• Enfin, en zone humide (et locale), on peu trouver du peuplier blanc qui dispose de jolies feuilles blanches très duveuteuses. (à droite)

Je terminerais la balade avec les derniers arbres à débourrer : j’ai nommé nos vénérables chênes. Il existe de nombreuses variétés acclimatées au climat français. Dans notre Sud Ouest, nous retrouvons essentiellement :

• le chêne pubescent : que l’on reconnaît au printemps à ses jeunes feuilles pubescentes ( c’est à dire légèrement velues et aux poils fins) et souvent localisé en pleine lumière)
• Le chêne sessile (ou chêne rouvre) : que l’on reconnaît à ses jeunes feuilles cuivrées luisantes et une localisation plutôt forestière.

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Nous voici à la fin de notre balade botanique « jeunes feuilles » de ce mois d’Avril. En espérant qu’elle vous ai amusé, intéressé, voire donné envie d’observer par vous même les jeunes feuilles de la saison, je vous souhaite une belle journée !

Bonjour à toutes et tous

Alors que les vacances de printemps vont arriver pour les premières zones scolaires, j’aimerais vous proposer une recette qui devrait régaler petits et grands. Que diriez vous d’une nouvelle part de gâteau au chocolat ? Sans se mentir, c’est la valeur sûre des gouters, desserts et tout autre besoin de réconfort.

Sans doute comme vous, j’ai réalisé, testé un nombre assez pléthorique de recettes de petits moelleux ou gâteaux au chocolat. Ces essais m’ont permit « d’apprendre » les dosages usuels puis de faire les ajustement pour avoir la juste de dose de moelleux, de fondant, de sucre, et de chocolat. C’est à l’issue de quelques essais d’ajustement que je suis arrivée sur la recette du jour. Sous ses airs de gâteau simple, ces petits chocolat noisette sont très moelleux, riches en chocolats, ronds avec la touche de noisette, et vraiment délicieux en sortie de four. C’est une recette que je « sors » volontiers quand des amis (ou autres petits-gourmands) s’invitent vers 16-17H. Avec un café pour les plus grands ou un chocolat chaud pour les petits, vous avez la quintessence du goûter gourmand 🙂

Je voulais donc vous proposer l’idée, pour vous permettre de vous régaler ou régaler vos proches. J’espère qu’elle vous plaira. Bonne journée !

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Bonjour à toutes et tous,

Dans ce billet, je vous propose différentes recettes pour agrémenter et varier vos menus d’Avril. Ce sont des recettes publiées en Avril ou dans les mois attenants, mais toujours avec des ingrédients de saison. J’espère que vous trouverez quelques idées pour vous inspirer. : )

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La cuisine d’Avril

• Légumes : Avec le démarrage du printemps, on peut s’orienter vers les légumes dits « primeurs » carottes, navets. Le milieu du mois voit l’arrivée des premières fèves, radis, oignons doux, aillets et salades. Les blettes, les épinards et les poireaux sont en fin de saison.
• Fruits: Si le kiwi continue à garnir nos étals, les potagers offrent les premières tiges de rhubarbe et les premières fraises. Les pommes finissent leur saison.
• Fromages: Les fromages de type bleus (roquefort, fourme, bleu d’auvergne..) donnent le pep’s à nos plats et les fromages frais reviennent.
• Viandes et Poissons: Les poissons fins comme la sole et le brochets se dégustent de saison. Côté viande, c’est la pleine saison de l’agneau et du veau. Les oeufs sont également dans leur pleine saison.

Côté plats salés, les salades printanières font leur retour. Les plats basés sur les œufs (clafoutis, flans, omelette,.. ) accompagnent le retour du printemps. En sucré, flans et oeufs au lait accompagnent la profusion des oeufs. On peut aussi opter pour les premiers gâteaux aux saveurs de printemps.

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Les Bons-Plans

Note : Bandeau « Menu d’Avril » généré par IA. Les têtes d’ail poussent dans la terre ; )

Bonjour à tous et toutes,

Alors que le printemps a vivement démarré, que les fleurs se succèdent dans les massifs et dans les arbres, je vous propose une petite balade dans notre verger. Depuis 3 ans et demi, tous les ans, nous installons près d’une vingtaine de fruitiers d’anciennes variétés. Bien que petits ces arbres offrent une diversité de fleurs qui m’épate chaque année. Je vous propose de venir les admirer 🙂

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Commençons la sortie auprès des abricotiers qui ont ouvert le printemps au verger mi février. Ils ont été très visités par les pollinisateurs

Comme les fleurs d’un de nos amandiers. C’est la première année qu’il fleuri, signifiant qu’il s’est enfin installé dans notre terrain 🙂 (Note : Oui, il y a un grillage autour des arbres pour éviter que les chevreuils se grattent dessus et les cassent)

Début mars se sont pêchers et nectarines qui ont coloré les airs de rose. Il est souvent difficile de différencier l’un de l’autre avec les fleurs, et bien connaître ses arbres permet de savoir que les deux du dessous sont des nectariniers.

Les pêchers de vigne, quand à eux, sont aisément reconnaissables avec leurs toutes petites fleurs roses vives et compactes.

La l’automne dernier, nous avons accueil une nouvelle variété de pêcher « Charles Roux » (cf. descriptif). En ce début de printemps il nous a offert des fleurs toutes particulières, pétales roses vifs, étamines blanches.

Dans un coin du jardin, les anciens propriétaires avaient planté un pêcher « classique ». Nous avons laissé celui-ci tranquille et chaque année il nous offre une myriade de fleurs roses. Un excellent terrain de jeu photographique.

Avancer dans la saison pour rejoindre la semaine courante où les poiriers ont commencé leurs floraisons. Ils offrent des grappes compactes de fleurs blanches.

Aussitôt suivi par les pommiers pollinisateurs, des pommiers qui n’ont pas pour objectif de produire des fruits, mais attirer les pollinisateurs. Les pommiers fruits, suivrons dans les premières semaines d’Avril.

Je terminerais la sortie par deux photos de ce qui pousse au pied des arbres, avec notamment les plantes à bulbes résitantes au sec comme les Lys des Incas (à gauche) et les anémones de Grèce (à droite). Toutes de couleurs vives dans le verger.

En espérant que cette petite sortie dans le verger vous a plu, je vous souhaite une bonne journée

Bonjour à toutes et tous

Nous nous dirigeons vers les fêtes de Pâques et ses moments joyeux de chasse aux oeufs dans la maison ou le jardin. Au regard des températures très chaudes des derniers jours, on pourrait s’attendre à un Pâques dans le jardin, pourquoi pas à pique-niquer. A cette occasion, j’aimerais partager avec vous une recette tentée l’année dernière et qui avait bien plu à mes gourmands : le pâté de Pâques.

Si vous ne connaissez pas, c’est une recette du Berry (région de Bourges), qui consiste à réaliser une sorte de pâté en croute feuilletée, empli de viande de veau et de porc hachée et d’œufs durs. Il se déguste tiède comme froid. J’avais aperçu la recette depuis longtemps mais n’avais osé m’y confronter de crainte d’y passer beaucoup de temps. Mais en fait une fois que vous trouvez un boucher capable de hacher les viandes, c’est d’une simplicité enfantine. L’année dernière, je m’y suis lancée avec la version de C.Lignac (source ici). Le résultat a vraiment plu à mes gourmands qui y ont trouvé la générosité de la viande, la gourmandise d’un feuilleté décoré, et le côté « amusant » des œufs durs. (Et la quantité a bien agrémenté deux déjeuners en terrasse, donc parfait pour éviter au cuisiner de préparer le repas d’après)

Hésitant à le refaire cette année, je voulais partager l’idée de ce pâté de Pâques avec vous. Peut être cela vous inspirera ou vous le remettra en mémoire. Bon week-end !

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Recette : Pâté de Pâques (berrichon) maison

Saison de la recette : Toute l’année
Temps de préparation : 30 minutes
Temps de cuisson : 40 minutes

Ingrédients

Pour 6 personnes :

• environ 500g de viande de veau hachée
• environ 300g de chair à saucisse (cf. 1)
• 4 cuillérées à soupe de crème légère
• 6 cuillérées à soupe de vin blanc
• 3 œufs + 1 pour la dorure
• 1/2 botte de persil
• 2 échalotes
• 1 gousse d’ail
• 2 rouleaux de pâte feuilletées
• sel, poivre, noix de muscade.

Réalisation

• Lavez, égouttez et émincez le persil. Épluchez et hachez finement les échalotes et l’ail.
• Faites cuire 3 œufs jusqu’à ce qu’ils soient durs. Une fois cuits, écalez les et réservez.
• Dans un saladier, placez les viandes hachées et émiettées. Ajoutez la crème, le persil haché, échalotes, ail, vin blanc, sel, poivre et noix de muscade à convenance. Mélangez bien.
• Étalez une des pâtes feuilletées. Répartissez la viande sur une bande rectangulaire épaisse. Répartissez les œufs durs sur la face.
• Mouillez les futures jointures avec (le dernier) l’œuf battu. Recouvrez de l’autre pâte. Soudez du bouts des doigts et découpez les surplus de pâte. Utilisez-les pour décorer le pâté.
• Dorez le pâté à l’œuf battu. Aménagez une cheminée au centre du pâté.
• Enfournez pour 40 minutes à 180°C

Dégustez tiède ou à température ambiante, accompagné de crudités de saison.

Astuces

• (1) Pour un pâté de pâques express et moins onéreux, utilisez environ 650g de chair à saucisse à la place des viandes.
• Vous pouvez transporter ce pâté de pâques en pique nique.

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