C’est une savoureuse recette apéritive de dernière minute (ou plus) que j’aimerais proposer : du fromage au four et en particulier des cabécous. J’avais aperçu l’idée dans un Saveur magazine et la simplicité m’a plu : les fromages dans un ramequin, une touche d’assaisonnement, on laisse fondre et on déguste avec gourmandise avec du pain grillé. Si en plus on a déjà un plat au four (gratin, lasagnes, etc..) c’est prêt en moins de 10 minutes.
La variante que je vous propose est inspirée du jardin : un brin de sarriette récolté par là, un bon miel local, le tout devant adoucir un chèvre un peu piquant. J’ai itéré la recette plusieurs fois avec des proches et cela fait mouche à chaque fois. (Plusieurs ont même récupéré le concept).
Je vous propose l’idée si jamais vous cherchez un apéritif « en 2 minutes ». N’hésitez pas à essayer, avec votre assaisonnement préféré.
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Cabécous au four, miel et sarriette
Recette : Cabécous au four, miel et sarriette
Saison de la recette : toute l’année
Temps de préparation : 2 minutes
Temps de cuisson : 10 minutes
Ingrédients
Pour 4 personnes :
3 cabécous
1 cuillérée à café de miel liquide
2 à 3 branches sarriette ou de thym
Pain
Réalisation
Découpez des tranches de pain et faites les griller
Dans un ramequin, disposez les cabécous. Arrosez de miel, égrenez une branche de thym et disposez les autre branches sur le dessus.
Faites cuire au four 10 minutes à 180°C jusqu’à ce que le fromage fonde – ou 30 s au micro ondes
Servez ces cabécous au four aussitôt, accompagnés des tranches de pain grillé.
Astuces :
Variantes : ajoutez quelques cerneaux de noix sur le dessus
Balade Botanique – Préparer la suite (Septembre 2022)
Bonjour à toutes et tous,
Avec l’automne, je vous retrouve ce matin pour une nouvelle balade botanique à la découverte des curiosités botaniques de la saison. Nous l’avons tous vu : la végétation a sérieusement « morflé » cet été, laissant des prairies sèches, des feuilles mortes dans les arbres. La nature paraît vide. Néanmoins, septembre est un excellent mois pour observer les différentes stratégies des plantes pour préparer la prochaine saison du printemps/été. Je vous propose donc une balade à la découverte de toutes ces stratégies.
Partons donc dans une prairie séchée par l’été. En marchant, je me dois de faire une petite précision botanique. Chez les plantes, la structure qui contient et protège l’embryon végétal est (bien) la graine. Ces graines sont souvent formées en masse par les plantes afin d’être semées en masse et d’avoir une chance non nulle que de jeunes plants survivent.
Pour voir cette production en masse de graines, nous pouvons nous arrêter devant une fleur qui forme une capsule protectrice, dans laquelle se retrouvent les graines. La capsule est au départ fermée, puis s’ouvre selon différents systèmes de fentes à la bonne saison. Vous voyez ici une capsule de stéhéline douteuse mais vous pouvez trouver le même système chez la nigelle de damas, l’œillet d’Inde de nos jardins.
Dans les capsules originales, se trouvent les siliques des brassicaceae (choux, roquette, cardamine..) qui forment des capsules longues et fines et donc les parois se détachent à la bonne saison. Un exemple ci dessous avec le chou potager.
Silliques de chou potager
Pour certaines plantes, la graine est protégée par une enveloppe charnue : le fruit. A noter qu’un fruit rassemble d’un point de vue botanique deux types d’enveloppes protectrices :
Les drupes : fruits à noyaux : où la graine est protégée par un noyau comme pour nos pêches abricots, prunes…
Le baies : fruits sans noyaux : où les graines sont situées sans protection dans une enveloppe charnue : tels que le raisin, les tomates..
A noter que nos mûres sont un cas particulier de polydrupe : car c’est un agglomérat de multiples drupes.
Nos plantes forment des graines ou des fruits, il s’agit maintenant d’assurer qu’ils atteignent bien le sol pour germer, voire sont envoyés loin de la plante mère pour aller coloniser de nouveaux espaces. La aussi la nature a une multitude de stratégies qui lui permettent d’explorer (ou non) de grands espaces. Profitons de notre balade botanique septembre 2022 pour en découvrir quelques unes.
Première stratégie : s’en remettre simplement à la gravité. On parle alors de barochorie. C’est simplement attendre que les graines tombent à la verticale sur le sol, roulent si possible et aillent explorer quelques mètres aux alentours. C’est la stratégie classique de nos chênes et de leurs glands que l’on retrouve en masse au pied de chênes. A l’automne, si on écoute bien, on peut « entendre tomber les glands » et au printemps suivant, voir une multitude de bébés chênes se lancer dans la grande aventure de la vie.
Autre stratégie des graines : se faire disséminer par le vent.On parle alors de plante anémochore. A noter que ces plantes ont souvent des capacités d’exploration longue distance. Pour atteindre cet objectif, les plantes ont élaboré différentes techniques.
Il y a déjà la technique gracieuse des aigrettes que nous connaissons particulièrement sur nos chers pissenlits. Mais celle-ci se retrouve chez un nombre certains de plantes de la famille des Asteraceae (cirse, laitues, épervières,… ) ce qui assure une large dispersion des espèces. Deux exemples ci-dessous avec les cirses communes et les salsifis des prés
Aigrettes de CirseAigrette de salsifis
Nous avons aussi la technique des hélicoptères volants des samares des érables. Ces samares seront portées par le vent sur plusieurs dizaines de mètres, ce qui assure une bonne capacité de colonisation des espaces libres par les érables.
Autre méthode de dissémination : s’accrocher au pelage des animaux ou aux vêtements des humains. On parle d’epizoochorie. Ce sont des plantes dont les graines ont développé différents systèmes d’accroches : épines, crochets, colle.. pour s’installer clandestinement sur toute bestiole passant dans le coin. Voici par exemple les graines de (si je ne me trompe pas) sison amonegarnies de nombreux petits crochets. Vous pouvez trouver le même système du des luzernes ou de certaines graminées comme les « herbes aux écouvillons ».
Autre système dissémination l’endozoochorie (du grec endo : à l’intérieur) qui consiste à voyager dans le système digestif des animaux avant d’être éjecté à bonne distance des pieds mères. C’est le cas certains et appétissants fruits, où l’enveloppe est dégustée par l’animal et la graine, résiste au système digestif des animaux, et fini en « cadeau » sur le sol. Les plantes les plus réputées dans ce systèmes sont le Merisier ou le Sorbier des oiseaux (en photo).
Les graines de plantain majeur, situées au ras du sol, sont un autre exemple de ces graines digérées par les oiseaux et disséminées au 4 vents. A noter que l’option « shooter dans le plantain » par tout humain de passage est une autre option de dissémination epizoochore..
Dernière méthode de propagation dont il me faut parler : l‘anthropocorie ou transport par les humains, qui rassemble toutes les méthodes de déplacement des plantes réalisées par les humains. Cela peut être les collectes volontaires de plants ou de graines pour les ramener dans le jardin, le transport involontaire de graines sur les vêtements, comme le transport au gré (du vent) des trains qui passent pour notre sénéçon du cap (en photo); plante que l’on voit beaucoup sur les voies chemin de fer en cette saison. Et oui, même avec les meilleures intentions, nous transformons notre environnement.
En espérant que cette balade botanique septembre 2022 vous a plu, intéressé, amusé, je vous souhaite une bonne journée
Velouté tomates et aubergines (conserves ou non)
Bonjour à toutes et tous
En automne puis hiver, la soupe s’invite souvent dans nos dîners. Pour ma part, je trouve que c’est souvent le bon plan pour avoir du « juste à réchauffer » après les grandes journées. Néanmoins, au bout de quelques mois de soupe d’automne/hiver… les saveurs du sud si ensoleillées feraient du bien dans les bols pour varier.
Alors, il y a deux été, j’ai pris le parti d’essayer de préparer quelques conserves maison de soupe d’été. Le hasard du panier de légumes m’a conduit à un velouté tomates aubergines.. qui m’a bien régalée sur le dîner du jour. Plus tard, en février/mars, les bocaux réalisés ont vite régalé les plus-si-petits gourmands et moi même. J’ai même regretté de n’en avoir fait plus.
Alors, cet été, j’ai récidivé.. et me suis dit qu’il qu’il était temps de partager l’idée avec vous. J’espère que ce velouté tomates et aubergines vous inspirera.
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Velouté tomates et auberginesVelouté tomates et aubergines (en conserves)
Recette : Velouté tomates et aubergines
Saison de la recette : Juillet à Octobre
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 30 minutes
Ingrédients
Pour 4-6 personnes :
1 belle aubergine (600g)
1 kg de tomates
1 poivron rouge
1 oignon
1 gousse d’ail
1 cuillérée à soupe d’herbes de Provence (ou 2)
2 cuillérée à soupe d’huile d’olive
sel, poivre
Réalisation
Épluchez et hachez grossièrement l’oignon et l’ail. Lavez les légumes, retirez les pédoncules et coupez-les en gros morceaux.
Faites chauffer l’huile d’olive dans une casserole large puis faites y revenir l’oignon jusqu’à ce qu’il soit translucide.
Ajoutez aubergines, poivrons, ail et faites revenir 5 minutes en remuant régulièrement.
Ajoutez les tomates, les herbes de Provence et laissez à feu moyen jusqu’à ce que l’ensemble des légumes soient fondants.
Mixez finement. Salez, poivrez, rectifiez l’assaisonnement au besoin.
Si la soupe est trop épaisse à votre goût, laissez sur le feu quelques minutes.
Servez ce velouté tomates aubergines aussitôt.
Mise en bocaux : Si vous souhaitez conserver cette soupe en bocaux :
Lavez vos bocaux et ébouillantez les. Ébouillantez aussi la rondelle.
Remplissez les bocaux avec la soupe sans dépasser le niveau maximum.
Placez la rondelle, fermez les bocaux.
Stérilisez pendant 2heures à 100°C. (1)
Astuces :
Accompagnement : J’apprécie d’accompagner ce velouté de tartines de chèvre frais.
(1) le temps de stérilisation peut paraitre long, mais c’est lié à la présence d’eau en quantité importante dans la soupe.
Comment cuisiner les prunes ?
I. Présentation
Du côté du verger
Le prunier ou prunier cultivé (Prunus domestica L.) désigne une espèce d’ arbre fruitier du genre Prunus (famille des Rosaceae), cultivé pour ses fruits comestibles. D’un point de vue botanique, on distingue quatre sous-espèces:
Prunus domestica subsp. insititia (L.) : Prunier de Damas : arbre épineux, souvent sauvage, qui drageonne et peut former des haies. Il porte des petits fruits e 2-3 cm, ronds, sucrés.
Prunus domestica subsp. italica (Borkh.) Reine-claude
C’est un arbre ancien, très rustique, résistant à la sécheresse et au froid. Il est de taille moyenne 3-4m, caduque, à feuilles obovales. Il fleuri de blanc en début de printemps et forme des fruits qui seront disponibles en fin d’été.
Du côté de l’histoire
Il semblerait que les premiers pruniers soient issus de Syrie, ou se cultivaient prunes de Damas), des mirabelles et des reine-claudes. Les romains, suite à leur conquête, introduisent les fruits à Rome puis répandirent leur culture dans l’empire (dont la Gaule). Au moyen âge, c’est un arbre assez courant dans les vergers ou dans les haies. Le prunier de Damas est par exemple surnommé « prunier à cochons » parce qu’on l’utilise pour former des haies délimitant les zones où sont gardés les cochons.A noter que le genre « Prunus » comporte d’autres espèces de pruniers, moins prisés pour la culture des fruits, mais à fruits comestibles quand même tels que
le myrobolan ou Prunus cerasifera
le prunellier ou Prunus spinosa
Quelles variétés ?
En pratique, sur les étals, on peut retrouver différentes variétés de prunes :
Prune d’ente : violette, très sucrée, pour faire les pruneaux
Abricotine : rouge-violet, dont la texture rappelle l’abricot
Stanley : noire-violet, acidulée, taille moyenne , croquante – issue du croisement de prune d’ente et de Grand Duck,
Président : noire-violet, acidulée, grosse , croquante
Dans les magasins / Sur les étals
On peut trouver des prunes sur les étals entre début août et fin septembre. Les variétés s’échelonnent au fil du temps, en débutant par les abricotines et mirabelles, puis terminant avec questches, reine claude, stanley, président.
A noter qu’une « bonne prune » comporte une pellicule blanchâtre sur le dessus. Cette pellicule s’appelle la pruine et représente une enveloppe protectrice pour le fruit. Elle se retire au lavage juste avant dégustation
Prunes stanley
II. Comment les cuisiner ?
Comment l’utiliser ?
Après un bon lavage, les prunes se dégustent crues comme cuites.
Crues, elles sont croquantes, et permettent d’apporter des touches d’acidulé dans les préparations. On les découpe alors en morceaux (demi, quarts, … ) pour les intégrer dans les plats, ou en lamelle pour des tartines.
Cuites, elles ne gardent pas leur forme à la cuisson mais permette d’amener du jus. Selon le plat on pourra soit la garder entière (après dénoyautage) soit la couper en morceaux de taille désirée. A noter que les légèrement acides, ce qui doit être compensé dans les desserts.
Dans quels plats ?
Crues, les prunes sont agréables dans les salades salées comme sucrées. Cuites, la tarte est le dessert de prédilection : on peut disposer les prunes sur une simple couche de poudre d’amande, comme ajouter un flan ou une crème.
Ces fruits marchent très bien clafoutis, flan et dans les gâteaux/cakes, en apportant du fruité.
Les compotées de prunes sont intéressantes pour les desserts, seules, accompagnements de crèmes ou de gâteaux. Elles amènent une note d’acidité souvent intéressante pour relever des préparations manquant de saveur. Ces compotées peuvent aussi être utilisées en condiment salé, par exemple pour les volailles.
La confiture de reines claude, mirabelle, & co est un classique.
Avec quoi les associer ?
En général : Niveau condiments, les prunes fonctionnent très bien avec la cannelle, la badiane et plus légèrement la cardamome. Le miel marche bien avec toutes les prunes comme l’eau de vie. L’ensemble des prunes se marient bien avec les amandes et les noisettes, que ces dernières soient entières, en poudre dans les desserts.
Côté fruits, on peut leur associer sans mal les poires, le raisin, la figue, la framboise. Les prunes relèvent bien tout ce qui est pâte à gâteau, cake, clafoutis, flan, et le pain.
De la même manière, elles se prêtent bien au mariage avec les fromages crémeux, fromages blancs et faisselle.
Associations spécifiques:
La mirabelle s’associe très bien avec le thym et la sarriette.
Le vinaigre balsamique fonctionne bien avec les prunes type stanley, questche
III. Les recettes du blog
Retrouvez toutes les recettes aux prunes du blog pour vous inspirer
Comme je l’évoquais dans un précédent article, ces derniers temps, je me pose des questions pour cuisiner moins cher. Cette réflexion s’associe souvent à une autre : Comment diversifier les ingrédients des assiettes ? En effet, si on regarde nos recettes, on remarque vite qu’il y a quelques ingrédients incontournables comme la farine de blé et le beurre, …. ingrédients aujourd’hui un peu moins disponibles et un peu plus chers. Je me dis qu’en diversifiant, en apprenant à faire autrement, on devrait être capable d’être un peu plus résilients aux aléas.
Un des exemples les plus simples sont gâteau sans beurre. A la place de la base de quatre quart on peut par exemple opter pour la base du gâteau au yaourt. Mais il existe d’autres alternatives : je me suis souvenue il y a peu d’avoir aperçu chez CléaCuisine nombre recettes « alternatives » de gâteau, donc un moelleux chocolat et pruneaux qui avait plus que piqué ma curiosité. Lepruneau n’est carrément pas classé dans les ingrédients les plus « sexy » et pourtant il a de multiples atouts.. dont le fait d’être ultra courant dans le sud ouest. Alors, avec la rentrée des plus-si-petits gourmands, je me suis promise de tenter cette recette.
A la dégustation, je peux vous assurer que le résultat est des plus surprenants : le gâteau est très moelleux, le goût du pruneau est délicat et se marie très bien au chocolat noir. Le tout est délicieux, de texture légère et avec ce petit goût de « encore un petit chouilla ? » Le plus « drôle » est aussi que vous pouvez jouer à l’ingrédient mystère.
A l’occasion de ce mercredi, j’avais envie de partager la recette avec vous et avec l’office de tourisme de condom tenarèze pour la recette « made in gers » de septembre. J’espère qu’elle vous inspirera ou vous fera voir le pruneau autrement. Bonne jurnée
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Cake pruneaux chocolat
Recette : Cake pruneaux chocolat
Saison de la recette : Toute l’année
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 30 à 40 minutes
Ingrédients
Pour 4 à 6 personnes :
250 g de pruneaux non dénoyautés (ou 200g dénoyautés)
2 cuillerées à soupe de floc de Gascogne ou de rhum
110 g de chocolat noir
50g de sucre
2 œufs
50 ml de lait
90 g de farine de blé ou farine de riz
1 cuillérée à café de levure chimique
1 cuillérée à soupe d’huile de tournesol
Réalisation
Placez les pruneaux dans une casserole avec le floc de Gascogne puis ajoutez de l’eau à mi-hauteur. Faites cuire à couvert pendant 10 minutes.
Récupérez les pruneaux avec le jus puis mixez les jusqu’à avoir une texture de crème épaisse.
Dans un saladier, fouettez les œufs avec le sucre.
Ajoutez l’huile puis le chocolat préalablement fondu et la crème de pruneaux. Mélangez.
Détendez la pâte avec un peu de lait.
Incorporez la farine et la levure. Mélangez bien pour homogénéiser le cake.
Versez la pâte dans un moule préalablement huilé
Enfournez à 180°C pour 35 à 40 minutes.
Laissez refroidir avant de servir ce cake pruneaux chocolat
Astuces :
Conservation : 2 à 3 jours à température ambiante
Bulgur pilavi
Bonjour à toutes et tous,
Une recette facile, pas chère, de saison, seriez vous preneur – preneuse ? Si oui, vous êtes au bon endroit.
Avec l’inflation des derniers mois, j’ai pris action de partir à la recherche des recettes peu onéreuses et qui changent. C’est ainsi que je suis tombée sur celle-ci : le bulgur pilavi :une recette de boulgour à la tomate classique de la cuisine turque, que l’on trouve – a priori – fréquemment dans les restaurants turques. C’est très simple, ne paie pas de mine, mais franchement c’est très très bon. Servi avec un ou deux œufs, cela forme un plat complet qui passe aussi bien pour les végétariens, flexitariens ou carnivores (i.e. toute ma tablée).
L’appréciant particulièrement, je voulais vous diffuser la recette. N’hésitez pas à essayer.
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Bulgur pilavi (boulghour à la tomate)
Recette : Bulgur pilavi
Saison de la recette : Juin à Octobre
Temps de préparation : 10 minutes
Temps de cuisson : 15 minutes
Ingrédients
Pour 4 personnes :
200g de boulghour
3 tomates
1 oignon
1 cuillérée à café de piment ou de cumin
huile d’olive
sel, poivre
facultatif, 1 pincée d’herbes de Provence
Réalisation
Épluchez et hachez l’oignon. Lavez les tomates, retirez les pédoncules et concassez-les.
Dans une grande casserole, faites revenir l’oignon jusqu’à ce qu’il soit translucide.
Ajoutez les tomates, piment ou cumin, herbes de Provence et faites revenir deux minutes
Ajoutez le boulghour et 2 verres d’eau ( 400ml),. Laissez cuire a feu assez vif jusqu’à ce que le boulghour ai absorbé l’eau. Vérifiez régulièrement que cela n’accroche pas au fond.
Salez, poivrez et mélangez une dernière fois avant de servir.
Servez ce bulgur pilavi chaud ou tiède.
Astuces :
Accompagnement de : Viande ou deux œufs
A l’avance : Ce plat peut être préparé jusqu’à 48h à l’avance. Conservez au réfrigérateur
Hors saison; utilisez une conserve de tomate concassées
Caviar d’aubergines aux noix
Bonjour à toutes et tous
Lorsque l’on organise un apéritif à plusieurs convives en été, l’époque du « 100% charcuterie & biscuits apéritifs » est révolue. On passe en mode flexitarien en proposant toujours un peu de saucisson local pour les amateurs, mais aussi diverses préparations aux légumes de saison tels que des cakes salés ou des trempettes. Cette diversité plaît à tous, des « carnivores » qui font quelques excursions gourmandes dans les légumes, aux flexitariens qui choisissent en fonction de leurs envie du moment. A partir de juillet, un des classiques qui fonctionne toujours, c’est le caviar d’aubergines. Cette crème douce se tartine sans problèmes comme se déguste à la cuillère, en plaisant même à (certains) petits gourmands. Il n’est pas rare de voir leur bouille ou leur doigts recouverts de cette crème, au grand dam de leur parents.
A force de préparer la recette classique, il m’est arrivée de me poser la question de variantes. C’est en tombant nez à nez avec mon pot de noix que je me sous souvenue que l’aubergine se marie avec la noix dans nombre recettes (dont celles d’un certain C. Lignac) et ai eu une idée. Remplacer l’huile d’olive par celle de noix, parsemer la crème de quelques noix. Touche sud ouest garantie. A l’apéro suivant où je l’ai proposée, il me faut admettre qu’elle a rencontré vif succès.
J’aimerais donc prendre le temps de partager ce caviar d’aubergines noix avec vous. Si vous souhaitez une variante du classique, cela peut valoir le coup d’essayer. Bonne journée !
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Caviar aubergine noix – Au Fil du Thym
Recette : Caviar aubergines aux noix
Saison de la recette : Juillet à Début Octobre
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 30 à 40 minutes
Ingrédients
Pour 4 à 6 personnes :
2 belles aubergines
4 cuillerées à soupe d’huile de noix
jus d’un demi citron
1 gousse d’ail
sel, poivre
une poignée de noix
Réalisation
Lavez vos aubergines, puis coupez-les en deux dans le sens de la longueur et entaillez les en croisillon.
Mettez-les à cuire au four pendant 30min à 200°C environ, jusqu’à ce qu’elles soient cuites (à adapter avec l’épaisseur de vos aubergines : en fait l’aubergine est cuite quand la peau se détache aisément de la chair).
Une fois vos aubergines cuites, récupérez la chair des aubergines à l’aide d’une cuillère. Placez dans le bol d’un blender ou mixer, puis mixez la avec les gousse d’ail hachée, l’huile de noix, le jus de citron. Vous venez atteindre une texture de crème épaisse.
Salez, poivrez et rectifiez l’assaisonnement
Versez le caviar dans des verrines puis parsemez de noix concassées
Servez frais ou à température ambiante.
Astuces :
Variante : Mixez quelques noix dans la pâte pour renforcer la saveur noix.
Conservation : Conservez le caviar d’aubergines noix jusqu’à 48H au réfrigérateur, dans une boite hermétique.
Tous les ans, à partir de la mi août et jusqu’à fin septembre, je donne libre court à mon addiction aux prunes. Ces fruits ont toutes mes faveurs, du jardin ou d’un producteur, grignotés cru en passant, au dessert, ou cuisinés. La tarte aux prunesest un incontournable de la maisonnée, comme un autre grand classique : le clafoutis. Je trouve que ce dessert moelleux / fondant marche très bien avec les prunes, ces dernières apportant du jus et un parfum incontournable. Ma petite touche personnelle est de remplacer la classique farine par de la poudre d’amande et de la maïzena. La pâte est plus moelleuse et il y a le petit craquant de la poudre d’amande.
J’ai testé différentes prunes avec ce clafoutis et ma préférence va clairement vers la prune stanley cultivée par Sabine. C’est une variété de prune ovale, violette, charnue, un petit peu acide. Elle tient bien à la cuisson et est idéale pour les desserts. Si vous ne connaissez pas, essayez d’en trouver. Sinon, optez pour des quetsches.
Bref, en étant franche avec vous, je pensais que la recette était déjà présente sur le blog. C’est en cherchant les recettes pour les menus de septembre que je me suis rendue compte du manque. J’ai profité du clafoutis du week-end (aux prunes stanley :p ) pour prendre une photo et vous écrire la recette. J’espère que cela vous intéressera. Bonne journée !
Clafoutis de prunes et amandes
Clafoutis de prunes et amandes
Une recette d'un clafoutis de prunes et amandes, un dessert de fin d'été fruité, savoureux et facile à réaliser. Une valeur sûre de saison.
Saison de la recette : Août à Octobre (selon la variété de prunes)
Pour 4 personnes :
600 g de prunes (*)
3 œufs
300 ml de lait
100 g de crème
50 g de poudre d’amande
50 g de maïzena
100 g de sucre
1 cuillérée à soupe d’eau de vie de prune
Lavez les prunes, coupez les en deux ou en quart selon la taille. Retirez les noyaux. Placez les morceaux de prunes dans votre moule à clafoutis préféré.
Dans un saladier, fouettez les œufs avec le sucre.
Ajoutez la maïzena et la poudre d’amande et homogénéisez.
Dans une casserole, portez le lait avec la crème et l’eau de vie de prunes jusqu’à frémissement. Versez sur la pâte pour la délayer.
Versez la préparation à clafoutis sur les fruits
Cuisson au four à 180°C jusqu’à ce le clafoutis soit bien doré.
Servez ce clafoutis prunes amandes frais. Accompagnez de chantilly pour les gourmands.
* (1) je vous conseille de préférence les prunes quetsches, reines claude, stanley ou prune d’Agen. Évitez les prunes rouges qui sont très acides. Si vous utilisez des prunes d’Agen, n’utilisez que 70g de sucre, elles sont très sucrées.
Variante : Remplacez les amandes par des noisettes.