Bonjour à toutes et tous,

Au quotidien, pour les moments de flemme en cuisine ou lorsque je manque de temps, j’apprécie vraiment de préparer des tartines salées. Loin d’être le mets de dépannage, elle peuvent être des vraies tranches de gourmandise en associant différents ingrédients, différentes saveurs, différentes textures. Elles accompagnent sans mal une salade de légumes en été ou une soupe en hiver, permettant de préparer un repas complet en quelques minutes

En été, quand le potager d’été est productif – et notamment les pieds de tomate – il y a une recette très appréciée à la maison : des tartines tomates et fromages frais. Alors que l’on peut avoir l’habitude des recettes un peu « brut de fonderie » en tomates, c’est une recette tout en douceur. Le crémeux du fromage frais compense l’acidité des tomates et emmène ce légume-fruit dans la douceur. L’astuce pour rendre ces tartines géniales est de mixer tomates crues et tomates cerises rôties. Si en plus vous disposez de différentes variétés de tomates comme les variétés dites anciennes aux couleurs variées (exemple : ananas, green zebra,…) c’est une diversité de saveur tout à fait délicieuse. Vous retrouvez ainsi le moto du célèbre C. Lignac: « croquant, fondant, gourmand ».

Bref, alors que la rentrée arrive, invitant à retrouver les recettes prêtes en 3 minutes, j’avais envie de partager l’idée de ces tartines tomates avec vous. J’espère que cela vous plaira ou vous donnera des idées pour toute situation de manque de temps ou de flemme. Bonne journée 🙂

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Des idées de recettes faciles et rapides pour l’été ou la rentrée :

• Lieu et tomates cerises rôtis au four
• Chakchouka aux oeufs
• Pommes de terre tapées

Bonjour à tous,

Ce week-end j’aimerais vous emmener en balade, qu’en pensez vous. Avant que la reprise du quotidien professionnel ou scolaire ou autre nous embarque, une bouffée d’évasion fait toujours du bien 🙂

Alors qu’août avance, que les journées raccourcissent et que la végétation prends ses teintes de fin d’été, les petits matins savent révéler des ambiantes très particulières. Ce sont des lumières chaudes et dorées parfois noyées dans la légère brume du matin. C’est un ballet de graminées sèches et d’arbustes déjà en train de préparer l’automne, des chênes ayant pris des couleurs plus dures pour supporter la chaleur.

N’ayant pris de vraies vacances cet été j’ai largement pu en profiter, notamment lors d’une jolie balade champêtre un certain jour férié d’août… et j’aimerais vous en faire profiter 🙂

Partons donc ce tout petit matin dans une vallée à une dizaine de kilomètres de chez moi. Il est 7H20, le soleil vient à peine de se lever au dessus des collines. Je pars d’un fond de vallée pour monter sur les collines proches.

La lumière rasante du soleil donne des ambiances chaudes et faites de contrastes

Sur les bords des routes, la végétation prends ses airs de fin d’été : les épilobes hérissées ont lancé leurs plumettes, les grandes cirses laineuses encombrent les bords des routes humides.

Je grimpe au dessus de la colline, le paysage révèle l’immensité des champs. Vous ne voyez peut être pas, mais il y a beaucoup de maïs dans le champ du bas, maïs qui a largement profité de la générosité de la pluie..

Alors que j’atteins le sommet de la colline, un autre paysage se révèle. Cette fois, les moissons sont passées et la terre est prête aux semis d’automne.

Je prends le chemin de terre qui longe le champs dans une ambiance douce

Bientôt ce chemin devient un pur chemin agricole fait de terre et bordées de haies

Dans les haies, la suite se prépare. Les églantiers ont formé leurs cynorhodons, les prunelliers leurs prunelles. Jolie ballet de baies colorées..

Je continue d’avancer, les paysages de céréales s’étendent.

Dans un tournant du chemin, un amusant perspective est offerte par les grands chênes. Je m’arrête quelques minutes admirer les couleurs.

Le chemin rejoins une route goudronnée qui s’étire longuement sur la crête

Côté Vallée, le soleil est largement monté et contribue à la formation de ces ambiantes légèrement voilées. En fait, le sol relâche l’humidité stocké la nuit, qui monte progressivement avec la variation de température.

Sur le bord des routes, le bal des fleurs de fin d’été continue comme ces jolies centaurées

J’arrive au point de pivot pour retourner dans la vallée. Un chemin agricole part derrière un chêne.

Et ne tarde pas à se transformer en chemin bordé de hautes haies.

Il nous faut bien une dizaine de minutes avant de sortir des haies et de retrouver les paysages champêtres de l’été. Dans cette prairie, c’est un foisonnement de carottes sauvages (blanches), picride fausse épervière (jaune), chicorées (bleues).

Continuons à descendre en longeant ces prairies

Avant de retrouver la petite route de campagne qui nous mènera à la voiture..

En espérant que cette balade champêtre d’Août vous a plu, je vous souhaite un bon week-end !

Bonjour à toutes et tous,

La période des vacances d’été semble s’approcher de la fin. Cela reprends au travail, il y a plus de monde sur les routes et il y a des senteurs de rentrée dans l’air. Mais que diriez vous d’une recette facile pour prolonger l’été ?

L’aubergine, légume d’été par excellence est un des légumes favoris de mes gourmands et peut importe la forme avec laquelle vous la présenter. Cela doit tenir de sont moelleux et de son goût délicat. Alors je n’hésite guère à l’utiliser pour proposer un accompagnement de légumes dès que sa saison arrive. J’ai pour habitude de préparer une sorte de poêlée d’aubergines ou l’étonnant « poivrons et aubergines au four« . Ces recettes sont appréciées et on le mérite d’être préparées vite.

Mais cette année, pour changer un peu des classiques, je me suis mise en quête d’autres types de recettes. J’ai notamment aperçu des idées de tranches d’aubergines confites qui présentaient bien. C’est simplement de l’aubergine découpée en tranches, lustrée d’huile d’olive, garnie d’aromates et cuites au four. J’ai donc tenté avec différents assaisonnement avant que mes gourmands n’élisent leur favori : ail, citron et origan. Le résultat sont des tranches fondantes et parfumées qui s’accompagnent aussi bien de volaille, de poissons, de pois chiche ou de tofu pour les veggies. Le seul inconvénient de la recette est que cela mobilise toutes vos plaques de cuisson pour le four d’un coup, mais est ce vraiment problématique ? 😉

Bref, j’avais dont envie de partager avec vous cette recette d’aubergines confites au citron. Vous verrez, c’est vite préparé et change des autres recettes. J’espère que cela vous plaira. Bonne journée !

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Des idées d’accompagnements d’été

• Tian d’aubergines au pesto
• Crumble de légumes d’été
• Compotée courgettes et tomates

Bonjour à toutes et tous,

Il commence à y avoir un petit air de fin d’été dans la campagne d’Occitanie. Les pruniers sont chargés de fruits, les fleurs d’été commencent à former leurs graines, les graminées sont sèches et seules les irréductibles résistantes telle que la carotte sauvage ou la picride fausse vipérine abondent les prairies. C’est la période ou on se surprends presque à se dire que l’automne va arriver dans un mois et on l’on commence à vouloir conserver l’été. Si les bocaux de fruits/légumes sont coutumes, depuis quelques années je tente aussi des fleurs séchées maison. Ces fleurs permettent de composer des bouquets secs qui pourront égayer l’automne voir l’hiver tout en étant significativement moins onéreux que dans le commerce.

Il existe de multiples techniques pour faire sécher les fleurs : à l’air tête en haut ou tête en bas, dans un peu d’eau, sous presse, dans un mélange de glycérine pour remplacer la sève … (exemples sur thingstobloom) A vrai dire, j’ai toujours opté pour la solution la plus simple et la moins chronophage : à l’air, en petit bouquet, tête en bas, suspendues à un fil. Cela donne des jolis résultats naturels.

Pour la sélection des fleurs, j’opte majoritairement pour ce que me fournir le jardin et ses espaces en friches, en préférant les fleurs d’été un peu sèches par nature. Les graminées sont aussi utilisées mais il suffit souvent de laisser la nature faire et de se promener courant/milieu été pour les collecter déjà sèches. Des idées complémentaires peuvent être trouvées sur cette page de la fermepastel

Bref, ayant lancé ma fournée 2024, je me suis demandée si vous n’apprécierez pas de voir passer cette idée. Cela ne coûte pas grand chose car vous pouvez tout trouver à la campagne ou dans votre jardin et c’est très décoratif en automne/hiver ou plus. J’espère ne pas me tromper en partageant la méthode « de flemmarde » avec vous. 🙂

Bonne journée !

DIY : Fleurs séchées maison pour bouquet

Matériel

• des fleurs à sécher (cf 1.) :

  • les sèches : origan, lavande du jardin, statice, immortelle,…
  • les « humides » : gypsophile, achillée, camomille, hortensia
  • Inflorescence de grande graminée : herbe de la Pampa, herbe aux écouvillon, millet,…

• Ficelle
• Élastiques récupérés ou petit morceaux de ficelle
• un lieu ou suspendre

Réalisation

• Cueillez vos plantes une journée ensoleillée et en milieu de journée afin d’éviter que la rosée du matin ne retarde le séchage. Cueillez les avec une bonne hauteur de tige
• Assemblez vos plantes en petits bouquets de 3 à 5 brins et fixez-les avec un élastique. Il est préférable que les variétés de fleurs soient séparées
• Installez une ficelle dans une pièce un peu obscure et sèche (cf. 2). Suspendez vos bouquets tête en bas sur la ficelle.

• Laissez sécher entre 1 semaine pour les plantes « sèches » ou 3-4 semaines pour les plantes « humides »
• Utilisez les pour former vos bouquets en les maniant délicatement.

Conservation : Plusieurs mois. La durabilité dépends de la qualité du séchage mais aussi de à quel point les fleurs sont manipulées (exemple : lors du ménage). Quand votre bouquet ne vous convient plus, mettez au compost.

Notes :

• (1) La liste des fleurs n’est pas exhaustive, n’hésitez pas à utiliser ce qui pousse en abondance dans votre jardin où les prairies proches. De mon côté, j’utilise beaucoup d’origan (sauvage) aux bractées colorées, la lavande (du jardin), la statice (du jardin) et l’hortensia (du jardin). Sur la photographie, vous avez (de gauche à droite) origan, lavande, carotte commune (test de l’année), millet des oiseaux et origan.
• (2) Les fleurs sèchent en fait dans ma cave (obscure et fraîche) mais j’ai du installer dans un endroit lumineux le temps de prendre une photographie pour que vous voyez quelque chose ;). Évitez la proximité avec le lave linge/sèche linge qui augmenterons l’humidité.
• Complétez au besoin avec des graminées ou des cardères qui sèchent naturellement dans la nature.

Bonjour à toutes et tous,

Cela y est, la saison des prunes bat son plein, l’occasion de ce régaler ces fruits sur toutes leurs formes et leurs textures. Les prunes et moi c’est une grande histoire d’addiction, alors je n’ose vous dire le plaisir que j’ai à les cuisiner.

En cette mi août en particulier, c’est la saison des mirabelles. Ces perles dorées se boulottent aisément crues comme s’apprécie cuites. Si le far aux mirabelles est un grand classique de la maison, j’ai découvert il y a quelques temps (années) qu’elles font aussi de délicieuses compotées. La petite astuce pour rendre ces mets excellents est juste de sucrer un peu (car comme toutes les prunes, les mirabelles deviennent acides à la cuisson) et de leur ajouter un condiment. Il y en a un qui s’y associe particulièrement : le thym. Bref, des mirabelles, du thym, un peu de miel et vous obtenez en quelques minutes une délicieuse compotée qui s’associera bien avec un yaourt de brebis, fromage blanc ou faisselle. Sa saveur et sa couleur dorée fera même que vous pouvez la proposer à belle Maman sans mal en dessert raffiné et léger.

Alors que la saison des mirabelles est en cours, je voulais partagée la recette de cette compotée de mirabelles avec vous. J’espère qu’elle vous plaira et/ou vous inspirera pour cuisiner ces jolis petits fruits. Bonne journée !

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D’autres idées pour se régaler avec les prunes :

• Clafoutis de prunes et amandes
• Cobbler de prunes au sarrasin
• Tarte aux reines claudes

Bonjour à toutes et tous,

Avec la vague de chaleur, je voulais vous proposer une recette bon-plan découverte il y a peu. Si vous ou vos proches apprécient les glaces, cela pourrait vous intéresser. 😉

Mes plus-si-petits gourmands ont beau grandir, leur affection (voire addiction) pour les glaces ne s’estompe pas et ils me challengent tous les été pour en créer des versions maison. Mais avec une sorbetière encore tombée en rade et peu de temps devant moi avec le travail, difficile de me lancer dans les recettes de crèmes glacées. La crème glacée choco-noisette aux éclats de brownie, ce n’est pas encore pour cette année.

Bref, il n’empêche qu’en trainant un matin sur le site « marie claire cuisine et vin » je suis tombée sur une recette qui semblait être LE bon plan glace & flemme. C’est un yaourt glacé, où l’on dispose le yaourt dans un moule, parsème de fruits et fruits secs, et hop congélo puis vous obtenez des barres glacées (recette ici). Cela m’a direct plu et j’ai voulu tenter. Comme la saison des mûres démarre dans le Gers, ces baies semblaient appropriées. Pour les fruits secs, des pistaches torréfiées et caramélisées. 5 minutes de préparation à tout casser.

A la dégustation, petits et grands ont été bien contents. C’est frais, c’est ludique en présentation, c’est savoureux. Mûres et pistaches se marient bien, le yaourt apporte du crémeux. Sans être la recette de glace qui vous fera gagner le meilleur pâtissier, elle a décroché un « c’est gucci » (= c’est stylé, c’est bien) du plus grand.

Je voulais donc vous proposer l’idée, pour ces derniers jours chauds et pour la suite de l’été. Peut être cela vous inspirera ? Bonne journée

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D’autres idées de desserts frais pour l’été:

• Glace aux amandes sans oeufs
• Esquimaux au melon
• Tiramisu aux pêches

Bonjour à toutes et tous,

Alors que la canicule sévit partout, nous obligeant à nous confiner à la mi journée, j’aimerais vous emmener en balade ou plus exactement en randonnée. Nous allons quitter un peu le Gers pour nous évader dans les paysages de Dordogne.

Pour la petite histoire, les grands parents (des plus-si-petits gourmands) ayant une maison de Campagne du côté de Bergerac, nous y emmenons les plus si petits gourmands en vacances tous les étés. Les quelques jours que nous passons la bas pour les emmener/reprendre sont autant d’occasion de visiter cette jolie région. Je n’ai d’ailleurs pas tardé à repérer les nombreux circuits de randonnée du coin. C’est l’un d’entre eux, – fait un matin chaud en famille – que j’aimerais partager avec vous.

Nous partons au sud de Bergerac dans les vignes du Monbazillac. J’espère qu’elle vous plaira. 🙂

Pour débuter la randonnée, nous nous retrouvons au petit matin dans le petit village de Monbazillac. Point de à la maison du vin, à proximité du château. Le ciel d’un bleu éclatant nous accompagnera toute la journée

La randonnée se veut être une boucle (presque un 8) facile s’étirant dans les vignobles de Monbazillac. Le tracé nous fait donc vite quitter la ville ancienne pour nous retrouver directement plongé au cœur de vignes à perte de vue.

Une dizaine de minutes sur route nous conduit à un embranchement vers un chemin agricole, nous allons plonger directement ans le vignoble.

Les dénivelés du chemin offrent de jolis points de vue.

Alors que la végétation sèche et tondue à ras dans ces lieux, mon regard de botaniste amateur est vite attiré par des asperge sauvages en fleurs. C’est assez amusant d’en découvrir ici.

Le chemin agricole bifurque, passe une haie et nous emmène sur une autre région sèche du coteaux.

Un joli point de vue se trouve ici avec un vénérable chêne trônant au milieu des vignobles. L’alternance des vignes bien vertes, du chêne vert foncé et des herbes jaunies forme un étonnant tableau fait de contrastes.

En passant, nous regardons les raisins encore non mûrs. Dans quelques mois, ils finiront dans un délicieux vin blanc sec de Monbazillac. Ce vin plutôt sucré est idéal pour préparer du vin de fleurs de sureau.

Après plus d’une heure dans les vignes, le chemin agricole nous emmène en forêt. Cette portion ombragée est plus qu’appréciable en cette chaude journée.

Dans ces lieux ombragés, la végétation fleurie a repris ses droits et l’on peut voir nombres centaurées,
germandrée scorodoine, graminées d’ombrage..

L’intermède forêt dure une petite dizaine de minutes puis nous retournons sur les coteaux exposés, longeant la forêt. Un ballet de carottes sauvages orne les bords de chemins.

L’ombre de la forêt est agréable sur cette fin de matinée chaude.

Sur le bord d’une parcelle, une amusante pancarte attire l’attention de la troupe. La plus jeune demande s’il y a ds ours dans le coin, nous éclatons de rire. L’humour paysan est toujours une petite pépite lors des randonnées.

En continuant le chemin, nous changeons de côté de collines et voyons apparaître au loin le château de Monbazillac.

Un peu plus loin, les vignes dominent la plaine de la Dordogne. Elles semblent porter si loin. Parfois, j’aimerais avoir quelques centimètres de plus pour pouvoir voir « au dessus ».

Nous arrivons bientôt au tournant de la randonnée et longeons le coteaux.

Ce chemin se poursuit dans les bosquets frais..

Avant de nous offrir le clou du spectacle de cette randonnée : l’arrivée dans le parc du château de Montbazillac.

La randonnée se termine en remontant vers le château par un petit chemin de terre, puis retrouvant le parking. La fin de matinée est proche, les températures ont monté, il est temps de retourner au frais.

En espérant que cette randonnée vous a plu, je vous souhaite une bonne journée. 🙂

Plus d’infos

Trace GPS et descriptif de la randonnée : https://www.guide-du-perigord.com/fr/tourisme/decouvrir/itineraires-de-randonnees-en-perigord/monbazillac-422/boucle-de-monbazillac-30.html

Durée/Difficulté : La randonnée dure 2H + prolongations liées photos, pauses, etc. Elle ne présente pas de difficultés particulières.

Bonjour à toutes et tous,

C’est une de mes recettes classiques de l’été que j’aimerais partager avec vous. Elle a le mérite d’être préparable à l’avance et de se servir fraîche, ce qui est souvent un atout lors de ces mois chauds.

Mes gourmands (et en particulier mon mari) sont de grands amateurs des terrines de poissons et/ou fruits de mer en été. Le prix de ces préparation ainsi que leur liste d’ingrédients bizarres m’ont vite (i.e. il y a déjà quelques années de là ; ) ) poussée à tenter les recettes maison. J’ai découvert ainsi que ces mets ne sont pas si complexes que cela et qu’il existe autant de variantes possibles que de cuisiniers ou d’envies de complexité. On peut passer de la terrine « simple et savoureuse » préparée en 20 minutes avec du poisson peu onéreux à celle « festive et raffinée » avec différentes couches de poissons fins et des « inserts » en légumes ou en fruits de mer.

Celle que je vous propose aujourd’hui rentre dans la première catégorie et revient tous les ans sur la table. Il s’agit d’une terrine de poisson blanc (merlu, lieu noir ou lingue bleue selon l’arrivée du jour), parfumée au citron et au curcuma. Elle est vite préparée, dispose d’une jolie couleur grâce aux épices, d’un mélange de saveurs qui fonctionne très bien. Elle se prépare à l’avance et se sert fraîche pour l’été. Mes gourmands l’apprécient beaucoup, telle qu’elle, avec une mayonnaise ou une sauce au yaourt.

Je voulais donc partager avec vous cette recette de terrine de poisson, citron et curcuma, dans l’espoir qu’elle vous inspire. Vous pouvez bien évidemment l’enrichir à convenance. Bonne journée

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Pour accompagner la terrine lors des les repas d’été :

• Foccacia aux tomates
• Riz aux herbes
• Salade d’aubergines grillées aux amandes