Bonjour à tous et toutes,Je vous propose de terminer la semaine avec une idée de gourmandise, qui pourrait peut-être agrémenter vos tables du week-end.  D

La plus grande de mes gourmandise d’automne, c’est le coing. Ce fruit ancien et rustique a le défaut d’être difficile à couper et long à cuire, mais une fois ces étapes passées, il est excellent avec sa saveur si caractéristique.  Ma recette préférée est le coing au sirop, tout simple à réaliser, mais par force de gourmandise, j’avais bien envie de « l’honorer » par une recette plus élaborée.

Pourquoi pas en gâteau moelleux,  pourquoi pas en tarte croustillante, mais c’est finalement le concept de la tourte que j’ai fini par retenir.  Les coings gentiment recouverts de pâte devaient rester bien fondants, et la pâte maison apporter une belle gourmandise. Pour relever l’affaire, j’ajoutais un peu de cannelle dont la saveur chaude devait donner un côté réconfortant. Une fois présentée, ma tourte aux coings « feuilles d’automnes » à au moins recueilli tous les suffrages côté décoration. Et oui, facile de s’amuser en déco avec quand on a un étage de pâte sur le dessus

A la dégustation, elle a été également très appréciée grâce à son mélange de croquant (pâte) / fondant (coings),  le fruité du coing, les saveurs d’automne de ma pâte à tarte au sarrasin et la petite touche de fruit sec. Mes petits gourmands ont même jugé que cette « tourte au coin-coin à manger dans les coins, ferait bien un coin de leur quatre heure » (allez chercher ^^)[Sinon, Pour ma part, je vous dirais que je l’ai trouvée « à tomber par terre », mais je ne serais pas impartiale, vu mon addiction au coing

Bref, j’aimerais vous partager l’idée, si jamais vous cherchez un petit dessert original pour ce week-end ou plus.  En vous souhaitant un bon vendredi !
 

Bonjour à toutes et tous,

Lorsque l’automne arrive (enfin) dans la Drôme et les collines du Vercors, les forêts se transforment en un véritable patchwork automnal. C’est un balade de teintes dorées dans les hêtres, d’ocres dans les chênes, de rouge dans les haies et de vert vif dans les sapins. Si l’on prends le temps d’arpenter les pentes, on peut observer un spectacle qui n’a pas son pareil.

A l’occasion d’une randonnée-balade du fauve, je suis partie dans les collines et j’en ai pris plein les yeux. Je voudrais partager ce spectacle avec vous via quelques photos. Le cadre aurait sans doute été cent fois plus merveilleux avec le soleil, mais il n’en reste pas moins spectaculaire. J’espère que cela vous plaira de venir. : )

Démarrons par les petits chemins qui grimpent dans les collines. Après quelques minutes de montées, les premières trouées nous font entre-apercevoir le spectacle

Une large variété de couleur a envahi cette colline boisée

En grimpant encore un peu, nous commençons à voir le plateau du Vercors qui se dessine…

Vous voyez les couleurs des forêts, mais les haies de ces chemins dégagées sont aussi un festival de flamboyance. Les arbres à perruque ou cotinus ont sorti leurs teintes d’automne.

Et pour tout amateur de botanique, il sera aisé de remarqué les élégantes aigrettes plumées qui porterons bien vite les graines loin des pieds mères..

Reprendre la marche, continuer de grimper et voir le spectacle de l’automne

Le patchwork automnal des pentes et des collines n’en fini pas de m ‘émerveiller…

Je continue par les petits chemins pour monter sur la crête…

Où je me fait accueillir par un ballet d’herbes folles..

Et voilà le clou du spectacle, une combe entourée de ses couleurs d’automne. Je reste plusieurs minutes cheveux au vent pour admirer le spectacle..

Je termine la balade en empruntant les petits chemins qui descendent à flanc de collines :

C’est occasion d’observer les couleurs dorées des hêtres :

C’est ici que je vous laisse. En espérant que cette balade vercors novembre vous aura plu, je vous souhaite une belle journée !

Bonjour à toutes et tous

Parmi l’ensemble des pièces de viande appréciées par mes gourmands, il y en a une qui sort du lot : le filet mignon de porc . Sa tendreté et sa finesse en saveurs leur plait toujours, jusqu’à être une (quasi) garantie « plat 100% réussite ». Je l’ai déjà cuisiné de diverses façons, mais il y en a une que je trouve particulièrement sympathique et conviviale : rôtir le filet mignon au four. C’est simple, savoureux, la cuisson est facile. Accompagné de légumes rôtis (courges, panais, carottes, etc), il permet de former un plat complet, équilibré, préparé en 15 minutes maximum et avec le minium de vaisselle (oui, tout cela ^^).

Je voulais donc partager l’idée avec vous. Pour les légumes, vous trouverez dans la recette mon « mix classique de l’automne », mais vous pouvez adapter au contenu de votre bac à légumes. Bonne journée !

Découvrez aussi

D’autres recettes d’automne hiver faciles à préparer :

• Echine de porc et chou fleur rôti
• Patidou cocotte
• Aile de raie au four, vin blanc champignons

Bonjour à tous,

Ce matin, parlons un petit peu de déco d’intérieure, le voulez-vous ? Alors que l’automne avance, que les arbres se dégarnissent, c’est le moment de se lancer dans une opération simple mais efficace pour disposer de jolies fleurs dans nos pièces de vie lors des fêtes : le forçage des bulbes de printemps.

A la maison, malgré des plantes d’intérieur verdoyantes, la pièce de vie manque de petites touches fleuries pendant les mois d’hiver. Plutôt que d’acheter des fleurs coupées ou des compositions toute prêtes (dont le bilant écologique peut se discuter), j’ai découvert il y a quelques années que l’on pouvait soit même obliger les bulbes à fleurir à l’intérieur. Le concept est tout simple : il suffit de placer  les bulbes dans des conditions de vie « comme au printemps » et ils démarrent spontanément leur floraison. Fleuris autour des fêtes, ils mettent beaucoup de gaieté. Après floraison, ont peut les réutiliser au jardin où ils refleuriront l’année suivante.

Ayant lancé mon forçage « 2018 » récemment, j’aimerais vous partager les « astuces » pour le réaliser, et quelques ides de compositions. . En espérant que cela vous donne des idées.

Tutoriel : Des bulbes en fleurs pour l’hiver

Matériel

• bulbes à floraison de début de printemps tels que : Jacinthes, Narcisses, Muscarii, crocus,…
• Récipients en verre
• Eléments de décoration

Mise en forçage

Etape 1: Préparation des bulbes : Disposez les bulbes à l’ombre et dans une pièce tiède pendant 2-3 jours, le temps que le feuillage commence à sortir. (cf. au dessus).

Etape 2: Mise en décoration – option 1 « Avec les vases à jacinthes »

C’est la méthode la plus simple pour disposer d’une jolie décoration. Elle s’utilise avec des gros bulbes type jacinthe et avec des vases dédiés trouvable en jardinerie ou chez votre fleuriste préféré. Dans ce cas, disposez le bulbe dans le goulot du vase, arrosez à effleurement et laissez pousser.

Etape 2: Mise en décoration – option 2 « MyGyver »

Cette fois, on utilise des éléments en verre « maison » tels que les bocaux, verrines ou coupelles récupéré. Dans ce cadre :

• disposez du gravier au 2/3 du pot
• installez vos bulbes et calez -les avec de la mousse.
• Vous pouvez aussi ajouter tout élément de décoration de votre choix.
• Remplissez vos pots d’eau jusqu’à effleurement du pied du bulbe.

Astuce : Si vous réalisez une grand composition avec plus de 3-4 bulbes, je vous conseille de viser un contenant assez haut pour disposer 4-5cm de billes d’argiles/cailloux, puis une fine couche de terre (4-5 cm) dans laquelle vous pourrez enfoncer vos bulbes au deux tiers.

Quelques exemples cette année

Etape 3: Les faire fleurir

• Installez les pots à leur place, idéalement dans un pièce chauffée et proche d’une fenêtre pour capter la lumière.
• Arrosez pour maintenir l’eau à effleurement.
• Et laissez faire. Vous devriez dans un premier temps voir pousser des racines puis la fleur. La date de floraison n’est pas fixe, cela sera dépendant de l’ensoleillement, des températures, de la motivation de vos bulbes…. Comptez un bon mois, mais ensuite vous aurez de jolies fleurs même en hiver : )

Sources complémentaires du billet : homejardin.fr

Bonjour à toutes et tous,

La noix est un petit plaisir d’automne que l’on picore volontiers à la maison. Nous avons la chance d’avoir les vergers des noix de Grenoble pas trop loin de chez nous donc on peut trouver des gros sacs de noix fraîches à des prix raisonnable dans les marchés de producteurs. Dès que l’on passe l’épreuve du « cassage de noix » (où mon mari est gracieusement invité à prendre le rôle « d’homme fort » de la maison ^^^) , on peut se régaler de ces petits trésors d’automne croquants et savoureux.

Côté cuisine, je l’utilise souvent pour condimenter les salades ou en « topping » de plats. Mais je n’avais pas encore tenté le gâteau 100% noix, pourtant dans ma (très longue) liste des « recette à tester ». C’est en provisionnant notre dernier gros sacs de noix que je me suis décidée.

J’ai piqué la recette traditionnelle du gâteau au noix du Périgord, légèrement réduit la quantité de beurre, puis l’ai réalisé. A la dégustation, on s’est clairement régalés : le gâteau est presque fondant, la saveur noix est excellente, c’est sucré à propos, et la petite saveur de rhum rehausse l’affaire.

En attendant de trouver la motivation (et la force) de casser autant des 35 noix nécessaires, je partage la recette avec vous. En espérant vous régaler !

Bonjour à tous et toutes,

Démarrons la semaine par un bon bol d’air, le voulez-vous ? Quand viens l’automne, la saison des champignons, des feuilles colorées, des lumières dorées, il y a toujours plus de monde en forêt. On croise plus facilement les familles venues prendre un bon bol d’air, des d’amateurs de randonnée, des promeneurs du dimanche. Cela m’amuse souvent de voir les chemins calmes s’emplir de vie humaine.

Dans ce billet, à défaut de pouvoir aussi vous embarquer dans une de mes sorties forestières, j’aimerais au moins vous apporter une petite bouffée de photos prises en forêt, un petit matin, faite en compagnie d’un collègue randonneur. Nous étions au Grand Echaillon, dans le Vercors et dans une de ces plus jolies forêts. Entre ambiance brumeuse et lumière d’automne, peut être trouverez-vous un peu d’émerveillement que nous avons eu. 🙂

Débutons au petit matin, alors que le soleil se lève tout juste.. La forêt est encore dans l’obscurité de la nuit. Les premiers rayons du soleil qui chauffent leur sol semblent appeler les brumes

La première impression n’est pas fausse : peut à peu la brume se lève et s’étend.

Jusqu’à ce que nous nous perdions dans les nuages:

Seuls ressortes les couleurs d’or des hêtres

Au bout d’un bonne demi heure,nous sortons dans une clairière ou nous voyons peut à peut les brumes monter à la cime des arbres.

Lorsque nous retournons dans la forêt, elle semble avoir presque disparu

Forêt de Lumières..

Grimpons encore dans ces couleurs d’automne. En passant si les arbres sont parés d’or et de lumière, le sol révèle aussi des petites choses amusantes : )

Continuer de grimper vers le ciel. Nous semblons atteindre le sommet de la forêt

Bientôt nous nous rendons compte que nous arrivons au dessus des falaises. Bientôt; nous verrons l’immensité..

Se rapprocher du vite et être saisi par le spectacle des vallées

Nous faisons face à vallée de Léoncel, que nous apercevons tout petit en bas (à gauche de la photographie).

La couleur sombre des forêts vues de haut est saisissante alors que l’intérieur semble fait d’or et de lumière

Le temps passant, il nous faut redescendre dans les fougères verdoyantes

Et Nous retrouvons la route, qui nous mènera jusqu’à notre voiture.

En espérant que cette randonnée au Grand échaillon vous a plu, je vous souhaite une belle journée !