Pour reprendre les traditions du blog, dans ce billet, je vous propose différentes recettes pour agrémenter et varier vos menus de Février. Ce sont des recettes publiées en Février ou dans les mois attenants. J’espère que vous trouverez quelques idées pour vous inspirer. : )
Les produits de saison
Légumes : On dit au revoir aux courges et c’est le temps des légumes racines comme les betteraves, navets, carottes, céleri-rave. Les poireaux et les blettes complètent le panier accompagnements. Les endives offrent des idées de salade pour nos menus février.
Fruits: Les agrumes sont en pleine saison (oranges, clémentines, citron..), ainsi que les pommes et poires de garde. N’oubliez pas le kiwi made in France et son pep’s acidulé.
Fromages: On pense aux tommes de montage, au Mont D’Or, aux fromages affinés tels que Comté, Beaufort, Ossau-Iraty..
Viandes et Poissons: Les volailles entrent dans leur saison, comme l’agneau. En poisson, c’est la saison de la saint jacques, du merlu, du mulet. Les poissons fumés sont aussi dans leur saison.
OrangesCéleri raveKiwis
Les Bons-Plans
Côté plats salés, les gratins fromagers et les soupes complètes sont idéaux pour se réchauffer. Sinon on opte aussi pour les crêpes salées. En sucré, les crêpes et les beignets sont de retour, classiques ou aux fruits. Et les goûters peuvent aussi s’en référer aux cakes sucrés, aux agrumes.
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Bonsoir à tous et toutes,
Mais quelle est donc cette saugrenue idée-recette devez-vous penser ? Surprise ! A vrai dire, cette recette fait son « come-back » sur le blog après un an et demi d’absences et un relooking côté photographie.
Cette recette a été tentée sur un coup de tête il y a plus de 7 ans. Le panier de légumes comportait un gros bulbes de fenouil, que je me voyais mal cuisiner en salé. Me rappelant qu’il s’associait bien aux agrumes, je me suis mise dans l’idée de trouver une recette amusante en sucré. C’est le concept d’une marmelade fenouil-orange qui m’a fait de l’œil, étant un peu dans ma période « confiote sur tartines ». Donc, un bulbe fenouil bien émincé, a peu près le même poids d’oranges et de clémentines, ce fut partie pour une petite quantité de marmelade.
Une fois celle-ci quasi finie, je goutais pas curiosité.. Et comment vous dire : une vraie bombe de saveurs ! Si les oranges/clémentines sont classiquement très fortes en goût, elles sont ici adoucies par le fenouil pour former une marmelade plus douce. La saveur anisée du fenouil, au lieu d’exploser comme d’habitude, est présente en discrétion pour relever les agrumes. L’ensemble est (par chance) bien équilibré. Que ce soit les petits gourmands ou moi-même avons clairement fait un sort aux deux petits pots de marmelade « de test ».
Ayant vite itéré la recette quelques jours après, puis ensuite tous les ans, il me tenait à cœur de partager la recette de cette marmelade fenouil orange clémentine avec vous. J’espère que vous vous régalerez autant que nous !
Marmelade fenouil orange clémentine
Recette : Marmelade fenouil orange clémentine
Saison de la recette : Décembre à Mars Temps de préparation : 20 minutes + mise en pots Temps de cuisson : 1 heure (minimum)
Ingrédients
Pour environ 4 pots à confiture:
2 oranges bio ou non traitées (500g)
4 clémentines bio ou non traitées (500g)
500 g de fenouil (1 gros bulbe ou deux petits)
1 kg de sucre (à ajuster avec le poids des fruits et légumes )
Réalisation
Étape 1 : Préparation
Lavez le fenouil puis coupez le pied et écrêtez légèrement les tiges. Coupez le fenouil en deux puis retirez le cœur dur. Coupez ensuite en petits morceaux (dés)
Lavez les oranges. Récupérez les zestes d’orange, puis récupérez les quartiers. Découpez ces quartiers en morceaux et réservez dans une casserole.
Lavez les clémentines, récupérez les quartiers puis coupez-les en deux. Détaillez l’écorce en fines lamelles. Réservez avec les oranges.
Pesez les fruits et légumes, puis ajoutez 70% du poids en sucre. A titre indicatif, pour cette recette, on a environ 1.5 kg de fruits/légumes, soit 1 kg de sucre. Mélangez et laissez mariner au minimum une heure (**).
Étape 2 : Cuisson et mise en pots
Mettez la casserole sur le feu vif, puis laissez jusqu’à ce que le sucre soit fondu et ai formé un sirop.
Laissez cuire à feu doux jusqu’à ce que la confiture prenne c’est-à-dire qu’un peu de confiture versée dans une assiette se fige en refroidissant.
Pour la mise en pots : Lavez puis ébouillantez des pots en verre et leur couvercle. Versez la marmelade fenouil orange encore chaude, puis fermez le couvercle et refermez le pot.
Astuces :
(*) Que vient faire le fenouil ? (*) Le fenouil sers ici d’atténuateur du goût prononcé des écorces d’agrumes, ce qui confit à une marmelade beaucoup plus douce que les classiques.
(**) Le fait de laisser « mariner » une heure permet aux agrumes de rendre leur jus avant la mise en cuisson. Si vous n’avez pas le temps, passez direct à l’étape de cuisson en ajoutant 1/4 de verre d’eau dans votre casserole.
Conservation : Conservez à l’abri de la lumière (placard, cave, garage) jusqu’à dégustation. La confiture se garde au réfrigérateur après ouverture.
Variantes : L’association des deux agrumes est intéressante car la clémentine apporte de la douceur et l’orange est plus forte en saveurs. Néanmoins, vous pouvez varier les agrumes à votre goût : 100% orange, 100% clémentine, etc.
Marmelade fenouil orange clémentine
Balade Botanique : Regarder les bourgeons (Janvier 2025)
Bonjour à toutes et tous,
Avec ce billet, s’ouvre pour ma plus grande joie la saison 6 des « balades botaniques ». Malgré le travail qu’ils impliquent, ces billets représentent un moment de kif, où j’apprécie de partager avec vous tous ces petits détails qui montrent la diversité de la Nature. On en apprends des choses quand on observe et tente de comprendre ! : ) D’ailleurs, pour les curieuses ou curieux, vous pouvez retrouver l’index complet des saisons et des épisodes en suivant ce lien.
L’hiver est clairement la période de dormance de la Nature, avec ses prairies grises ou jaunies, ses arbustes et arbres dégarnis, le froid et la pluie. Mais en coulisses, ce n’est pas si calme que cela. En effet, la belle saison du printemps/été se prépare, avec une évolution lente mais visible des bourgeons des arbres et arbustes. Mais aviez-vous remarqué que ces petites pièces présentent une diversité aussi grande que leurs plantes mères ?
Dans ce cœur d’hiver, je vous propose donc une amusante balade botanique de janvier à la découverte des bourgeons des arbres et arbustes. Couvrez vous bien, mettez des chaussures adaptées et venez avec moi. Nous partons à l’occasion d’une des rares trouées de soleil de (fin) Janvier…
L’hiver ou quand les branches des arbres et leurs détails se révèlent
Quelques notions pour débuter
Un petit peu de vocabulaire et nécéssaire avant de démarrer notre balade botanique : Les bourgeons correspondent à de petites excroissances des plantes. Ils sont composés de très jeunes pièces foliaires, qui peuvent évoluer pour former un rameau à feuilles ou une fleur. Ces bougerons assurent la croissance et la ramification des plantes.
Il existe plusieurs ‘types’ de bougeons chez les plantes :
le bourgeon apical (ou terminal), situé au sommet de la branche ou de l’arbre,
les bourgeons axillaires, situés en dessous,
les bougerons adventifs, situé autour du bourgeon principal.
Un exemple ci dessous avec un cerisier, avec le bourgeon apical au sommet, les axillaires en dessous.
C’est le bourgeon apical qui guide le développement (vertical) du rameau ou de l’arbre. Ce bourgeons apical libère une hormone végétale (l’auxine) qui a tendance à inhiber la croissance des bourgeons axillaires (du dessous) pour limiter la croissance horizontale de la plante. On appelle ce phénomène la dominance apicale. Selon la « force » de ce bourgeon apical, les plantes ont donc des ports plutôt verticaux (exemple des sapins, des frênes) ou plus évasés (chênes, aulnes,..).
Diversité des bourgeons : les formes
Si l’on connait les diversités de feuilles et fleurs des les arbres et arbustes, la diversité des bourgeons n’est pas repérée. Et pourtant, le promeneur peut largement s’amuser à découvrir une diversité de formes, de couleurs de positions. Partons donc l’observer dans quelques arbres et arbustes de chez nous.
Parlons (dis)position d’abord, pour regarder la disposition opposésdes bourgeons d’un érable sycomore. Par « étage » vous pouvez voir deux bourgeons opposés, et entre chaque étage leur position pivote de 90°
Autre position chez l’orme avec une disposition alterne des bourgeons
Autre disposition chez le chêne pubescent avec des bougerons groupés en tête. Nous pouvons d’ailleurs bien voir la structure écaillée et velue de ces bourgeons.
Diversité des bourgeons : les couleurs
Parlons de couleurs des bourgeons. Nous avons vu juste au dessus des bourgeons de chênes marrons, tout ce qu’il y a de plus commun. En regardant bien, nous pouvons trouver d’autres couleurs. Arrêtons nous déjà auprès des églantiers où nous pouvons voir des écailles rouges protéger les futures feuilles et fleurs…
Un peu plus loin, en bord de rû, nous pouvons voir que pour le saule pleureur, les écailles des bougerons (alternes) se colorent de jaune. A noter que d’autres variétés de saules, comme le saule marsault arborent eux des écailles rouges..
Diversité des bourgeons : Écailles et poils
La variabilité réside aussi dans la structure des bourgeons. Nous avons vu juste au dessus un bougerons de saule avec une unique écaille jaune. Pour l’amandier (ci-dessous), nous pouvons voir un bourgeons entouré de multiples écailles velues à l’intérieur et l’extérieur.
Autre variabilité : les poils avec ce bougerons de pommier où l’on peut voir un duvet blanc sur les écailles, un duvet brun sur la base du bourgeon. A noter que ces les pommiers (et plusieurs fruitiers) les bourgeons coniques qui n’ont pas encore décidé de former fleurs ou feuilles sont appelés « dards ».
Passé et futur…
Je voudrais aussi vous montrer un élément intéréssant à observer avec nos bourgeons et rameaux en hiver. Si vous regardez les nœuds du rameau si dessous et la position des flèches, sans doute pouvez vous observer des petits cercles blancs sur le rameau. Ces cercles sont en fait des cicatrices laissées par les écailles des bourgeons terminaux des années précédentes.
Et Terminons notre balade avec un (trop précoce) signe de la fin d’hiver : le débourrement du forthysia où les écailles laissent apparaître les futurs pétales couleur d’or.
En espérant que cette balade botanique de janvier (faite sur un rare moment de soleil) dans les bourgeons vous a plu, je vous souhaite une belle journée !
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Bonjour à toutes et tous,
Je ne sais s’il en est de même de votre côté, mais chez nous le redémarrage du travail post fêtes s’est avéré « sportif ». Heures à rallonges, documents à fournir pour la veille, sans parler des absences de collègues pour grippe, j’ai rarement vu début d’année si prenant. La résultante a vite été des temps très réduits pour s’occuper de la maison, du jardin, et de la cuisine. Moi qui espérait m’amuser un peu en galette des rois, c’est raté.
Pour les dîners post-travail, aussi, j’ai dû revoir mes ambitions à la baisse et botter en touche du simple et efficace. C’est ainsi qu’est venu ce mets. La base sont des betteraves rôties au four, qui se voulaient fondantes et savoureuse. Le complément a été de l’intuition du moment : de la mozzarella fondante et de la mâche croquante du jardin. Le tout est au choix une assiette veggie sympathique, une entrée qui change, et dans tous les cas une très bonne manière de déguster de la betterave. La betterave cuites en salade vinaigrée est bien loin, on est dans tout autre chose particulièrement agréable et délicieux.
Ayant juste quelques minutes de « trou » je voulais partager l’idée de ces betteraves rôties à la mozzarella avec vous. J’espère que cela vous inspirera pour de la cuisine d’hiver simple et facile. Bonne journée !
Betteraves rôties au four et mozzarella
Recette : Betteraves rôties au four et mozzarella
Saison de la recette : Novembre à Juin Temps de préparation : 15 minutes Temps de cuisson : 45 minutes
Ingrédients
Pour 4 personnes
Pour les betteraves rôties
5 à 6 betteraves crues (petites)
2 cuillérées à soupe d’huile d’olive
sel, poivre
Pour le plat :
2 boules de mozzarella
4 à 6 poignées de mâche
huile d’olive
sel, poivre
Réalisation
Lavez les betteraves, pelez les. Disposez sur plaque à four recouverte d’un papier cuisson, puis mélangez avec l’huile, sel, poivre.
Enfournez pour 45 minutes à 180°C. A l’issue de ce temps vérifiez la cuisson en plantant un couteau : il doit s’enfoncer sans difficultés.
Lavez la mâche. Égouttez et coupez la mozzarella en tranches.
Dans les assiettes, placez la mâche, quartiers de betteraves, mozzarella. Versez un filet d’huile d’olive, un peu de sel et de poivre puis servez.
Astuces :
Vous pouvez aussi ajouter des cerneaux de noix.
Variante : Si vous appréciez le vinaigré, n’hésitez pas remplacer le filet d’huile d’olive par une vinaigrette.
Variante 2 : Remplacez la mozzarella par du chèvre frais.
DIY – Nettoyant bois écoresponsable (meubles et objets)
Bonjour à toutes et tous,
Les week-end de fin décembre / janvier ayant tendance à être maussades et pluvieux (parfois froids, mais c’est de plus en plus rare..), j’essaye d’en profiter pour faire le grand nettoyage de la maison. On ne le dira pas, mais à la campagne, avec 4 personnes et un chien qui sait tout seul ouvrir les portes fenêtres, la boue comme la poussière peuvent s’inviter vite. Je profite aussi de ce moment pour remplir les flacons de produits d’entretien « écologiques et maison » ou tenter de trouver de nouvelles « recettes ».
Le billet que je vous propose aujourd’hui vient dans ce contexte. C’est en re-fouillant dans un livre de référence sur les DIY produits entretiens que j’ai découvert le DIY ci dessous : un nettoyant pour bois et meubles en bois. Comme nous avons plusieurs meubles en bois anciens (dont certains supports à photographies pour le blog), il paraissait approprié. Ce nettoyant bois se compose d’huile d’olive qui doit nourrir le bois et de vinaigre blanc pour aider au nettoyage. La recette originale demandait de l’huile essentielle mais je l’ai supprimée. Le résultat a franchement été bluffant d’efficacité en terme de nettoyage et de renforcement du bois. Vous pouvez voir un résultat sur la photo d’accueil avec à gauche après spray/ à droite avant.
Bref, étant vraiment contente de la découverte, je voulais partager avec vous le tutoriel de ce nettoyant bois maison. Et je vous recommande assez chaudement le livre dont il est inspiré « Do It Nature : Produits d’entretiens », Editions Rustica. Bonne journée !
Nettoyant à (meubles en) bois écoresponsable
Tutoriel : Nettoyant bois (pour meubles et objets)
Matériel
Pour un flacon de 100 ml (cf. 1)
1 flacon de 100 ml avec spray
50 ml d’huile d’olive
50 ml de vinaigre blanc
Réalisation
A l’aide d’un entonnoir, versez l’huile d’olive et le vinaigre dans le flacon. Fermez
Secouez pour bien homogénéiser le contenu de votre flacon (« faites prendre la mayonnaise » comme dirait mon mari)(2)
Utilisation
Utilisez en spray sur les meubles en bois (cf.3) ou objets en bambou et frottez avec un chiffon.
Si vous n’utilisez pas le produit dans la foulée, l’huile et le vinaigre vont se séparer. Il vous suffira de bien re-secouer pour homogénéiser.
Astuces :
(1) La quantité est à ajuster en fonction de la taille de votre flacon. Je vous conseille néanmoins de préparer par petites quantités, car la préparation sera plus facile à homogénéiser.
(2) Je n’ai pas testé, mais vous devez pouvoir utiliser votre mixer/blender pour cela avant de verser dans le flacon.
(3) Limitez l’usage sur du bois verni, le vinaigre blanc pouvant dégrader les finitions du meuble. Dans ce cadre, utilisez préférentiellement un chiffon humide.
Nettoyant à (meubles en) bois écoresponsable
Granola d’hiver aux fruits secs
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Bonjour à toutes et tous,
Nous nous retrouvons pour la première recette de 2025 et c’est avec un sincère plaisir car vous devriez vous régaler. 😉
Pour l’anecdote, en ce début Janvier, j’avais espoir de partager avec vous une nouvelle recette de galette des rois. Mais, la tenue d’un blog ne préservant pas des erreurs, celle-ci fut un raté monumental en terme visuel. Si vous avez tenté une galette maison avec une pâte feuilleté maison, peut être avez vous déjà vécu « l’explosion de galette » avec la frangipane qui devient bien apparente. Mes gourmands (et moi même) se sont très fortement régalés en terme de saveur/texture, mais pour la photo convenable c’est raté. C’est dans ces moments que j’apprécie d’avoir fait le choix de ne jamais monétiser le blog sous quelconque forme, cela me permet de m’adapter aisément 🙂
Bref, la recette du jour vaut tout autant le détour et pourrait illuminer vos petits déjeuner. Pour satisfaire un de mes gourmands, je voulais réaliser un granola (i.e. des fruits secs et pépites de céréales croustillantes , le tout cuit au four, cf. wikipédia) adapté à l’hiver. Il devait être gourmand, nourrissant et avoir des produits de longue conservation. Assez naturellement, il s’est constitué des classiques flocons d’avoine et d’une généreuse portion de fruits secs torréfiés à la poêle. Il n’est pas très sucré pour laisser place aux saveurs des ingrédients.
Sous son air simple, je peux vous assurer que ce granola hiver est de la bombe culinaire. Mon gourmand et moi même en sommes tombés littéralement addict. Dès que j’en refais, il est difficile de ne pas torcher le pot picorer le pot rien que pour la gourmandise. 😉
Même si la recette n’était pas prévue cette semaine, cela me fait plaisir de la partager avec vous. J’espère que cela vous régalera ou vous inspirera. Bonne journée !
Granola hiver aux fruits secs
Recette : Granola hiver aux fruits secs
Saison de la recette : Toute l’année (mais préférentiellement hiver) Temps de préparation : 15 minutes Temps de cuisson :20 minutes
Ingrédients
Pour 1 bocal de 400 ml environ :
150 g de flocons d’avoine
75 g de noisettes
75 g d’amandes
50 g de raisins secs
3 cuillérées à soupe d’huile de tournesol
3 cuillérées à soupe de miel
2 cuillérées à soupe de purée d’amande
Réalisation
Faites torréfier les amandes et les noisettes une dizaine de minutes à la poêle. Placez dans un torchon et frottez pour retirer la peau des noisettes. Concassez grossièrement.
Dans un saladier, mélangez les flocons d’avoine, amandes, noisette, huile, miel et purée d’amande.
Étalez sur une plaque à four recouverte d’une feuille de cuisson. N’hésitez pas à former quelques pépites.
Enfournez pour 20 minutes à 180°.
A l’issue de ce temps, mélangez avec les raisins secs, et placez dans un bocal pour conserver.
Astuces :
Utilisez ce granola pour agrémenter yaourt, fromage blanc, ou du lait.
Conservation : plusieurs mois dans un bocal (sans rondelle) où une boîte en fer.
Variante : n’hésitez pas à ajouter d’autres fruits secs (morceaux de pruneaux, de figues..)
Dans ce billet, je vous propose différentes recettes pour agrémenter et varier vos menus de janvier. Ce sont des recettes publiées en Janvier ou dans les mois attenants, mais toujours avec des ingrédients de saison. J’espère que vous trouverez quelques idées pour vous inspirer. : )
Les produits de saison
Légumes : On profite des dernières courges comme lesbutternut et l’on opte pour les racines anciennes comme les betteraves, panais, carottes, céleri-rave. On peut aussi cuisiner les choux de Bruxelles et les choux d’hiver (fleur, blancs rouges).
Fruits: On opte pour les agrumes comme les oranges bio et clémentines de corse, qui alimenteront en plus les vinaigres « écolos ». Pour changer, les pommes et les poires de gardesont encore une bonne opportunité de nos menus janvier.
Fromages: On pense aux tommes de montage qui twisteront les gratins, au gruyère (pas que sur les pâtes ; ) ), ou pour les saveurs plus fortes, au maroilles.
Viandes et Poissons: On privilégie les pièces moins nobles que l’on mijote longuement dans des plats réconfortants comme les morceaux de bœuf à mijoter ou la cuisse de dinde. A côté, c’est la pleine saison des Saint Jacques.
Choux de BruxellesClémentines
Les Bons-Plans
Pour les plats salés, on opte volontiers pour placer dans nos menus janvier des plats mijotés qui se préparent tout seul sur le feu ou des soupes réconfortantes. En sucré, c’est le moment de savourer galettes des rois et des salades de fruits aux agrumes.
Côté recettes incontournables de saison, nous avons :
En ces premières heures de 2025, permettez-moi de souhaiter pour vous et vos proches une année 2025 aussi bonne que possible. Qu’elle garde vous et vos proches en santé, vous apporte des projets ainsi que des des moments de joie et de partage.
2024 nous a apporté des difficultés, de l’incertitude, des catastrophes climatiques, mais a aussi montré le meilleur qui existe en nous comme la ferveur et la joie lors des JO de Paris où la solidarité pour Mayotte. Il ne faut pas être devin pour intuiter que 2025 apportera aussi son lot d’inquiétudes et de peines, mais aussi de petits bonheurs et de bonnes nouvelles. Il me semble que nos meilleures armes pour parcourir 2025 seront de s’appuyer sur nos valeurs de solidarité, de tolérance, de courage, d’envie d’avancer et de chercher à construire encore et encore du positif. En ces moments de transition, je repense toujours à cette citation :
« L’avenir, tu n’as point à le prévoir, mais à le permettre » (Antoine de Saint Exupéry)
Côté Site, Au Fil du Thym continue sur la lancée en 2025… et 2025 cela sera une année particulière il « fêtera » ses dix ans en fin d’année. Nous continuerons donc à nous retrouver pour partager recettes, balades & balades botaniques, DIYs natures, et tout autre sujet « nature »… le tout dans l’enthousiasme et la bonne humeur.
Avant de vous laisser, j’aimerais vous remercier pour votre fidélité, pour avoir mis un petit bout d’Au Fil du Thym dans votre vie, et pour tous les moments que nous allons passer ensemble sur 2025.
